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Sagot :
Ma chère Anais,
Comme tu le sais j'ai fugué depuis une semaine maintenant. Je voulais t'expliquer clairement la raison pour laquelle j'ai fait cela, je ne voudrais pas que tu ais une mauvaise image de moi, et puis tu es mon amie, tu as le droit de savoir.
J'ai eu une altercation avec mes parents, en rentrant du collège lundi dernier.
Je me suis fait disputer comme une gamine de 7 ans ! Juste parce que je ne suis pas rentré immédiatement après les cours et que je ne les ais pas prévenu.
Ils ont commencé à me dire que puisqu'il en était ainsi il me supprimait mon portable, et que durant trois mois je serais priver de sortie, qu'à tour de rôle ils m'accompagneraient les matins devant le collège et reviendraient m'y récupérer le soir.
Je n'en peux plus de cette pression, de cette atmosphère irrespirable qui règne chez moi, je ne pouvais que fuir. Ils ne me laissent pas m'exprimer, ça se termine en cris, en pleurs.
Quand vont-ils enfin me laisser "vivre" ?
Je ne suis pas une mauvaise fille, tu me connais toi, je travaille bien en cours, je ne leur fais pas de mauvais coups, alors pourquoi me couvent t'ils encore de la sorte ?
C'est pas la meilleure des solutions que celle de fuir, mais si seulement ils pourraient avoir un déclic, j'en serais tellement heureuse.
Je pense à toi. Tu me manques beaucoup.
Bises.
Comme tu le sais j'ai fugué depuis une semaine maintenant. Je voulais t'expliquer clairement la raison pour laquelle j'ai fait cela, je ne voudrais pas que tu ais une mauvaise image de moi, et puis tu es mon amie, tu as le droit de savoir.
J'ai eu une altercation avec mes parents, en rentrant du collège lundi dernier.
Je me suis fait disputer comme une gamine de 7 ans ! Juste parce que je ne suis pas rentré immédiatement après les cours et que je ne les ais pas prévenu.
Ils ont commencé à me dire que puisqu'il en était ainsi il me supprimait mon portable, et que durant trois mois je serais priver de sortie, qu'à tour de rôle ils m'accompagneraient les matins devant le collège et reviendraient m'y récupérer le soir.
Je n'en peux plus de cette pression, de cette atmosphère irrespirable qui règne chez moi, je ne pouvais que fuir. Ils ne me laissent pas m'exprimer, ça se termine en cris, en pleurs.
Quand vont-ils enfin me laisser "vivre" ?
Je ne suis pas une mauvaise fille, tu me connais toi, je travaille bien en cours, je ne leur fais pas de mauvais coups, alors pourquoi me couvent t'ils encore de la sorte ?
C'est pas la meilleure des solutions que celle de fuir, mais si seulement ils pourraient avoir un déclic, j'en serais tellement heureuse.
Je pense à toi. Tu me manques beaucoup.
Bises.
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