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Répondez-moi, cela fait la quatrième fois que je poste ce DM !!

S'il vous plait !! :)

 

Ecrivez la suite et la fin de cet épisode. Vous imaginerez la réction de la vielle femme, puis celle de Fraulein Kruger. Votre texte devra comporter un minimum de vingt lignes.Milada, habite a Lidice, en 1942, petite ville de Tchécoslovaquie, occupée par les Allemands. Une nuit, les nazis viennent chercher tout le monde : les hommes sont emmenés d'un coté, les femme de l'autre. Milada, comme elle est blonde aux yeux bleus, va etre séparée de sa soeur, de sa mère et de sa grand-mère et elle est emmenée a Puckhau, en Pologne, dans une école bien particulière ou on va lui donner un nouveau prénom, Eva, et ou va lui apprendre a devenir une "parfaite petite aryenne".
Un jour, elle et ses camarades d'école vont se promener en ville, sous la surveillance de Fraulein Kruger.
"Des bonbons ! J'en meurs d'envie !" m'a dit Liesel, les yeux luisants de convoitise. J'ai répété avec : "Oui, des bonbons", et je sentait l'eau a la bouche a la seul idée de retrouver le gout délicieux du chocolat. Une fois dans la boutique, j'ai choisi une bouchée surmontée de petite rose. je l'ai posée sur ma langue et j'ai fermé les yeux en la laissant fondre, sans mordre dedans, pour que cet instant magique dure plus longtemps. Quand cla a été fini, j'ai regardé autour de moi et j'ai vu de l'autre cotéé de la rue une vielle femme toute courbée qui nous observait. J'ai chuchoté : "Grand-mere..."
Pendant deux ou trois secondes, j'ai réeallement cru que c'était elle, sur un trotoire de cette ville de pologne, attendant que je la rejoigne. Soudain, plus rien n'a compté que ce désir fou qu'elle enroule son chale noir tout rapé autour de moi ...



Sagot :

Je l'ai rejointe aussitôt abandonnant madame kruger. Qu'elle ne fut pas ma joie et mon étonnement de retrouver ainsi ma grand mère . Des milliers de questions se bousculèrent dans ma tête mais aucun sons ne sortis , j'étais là devant cette vieille femme qui avait été un jour ma grand mère et je restais pétrifiée . Elle porta sa main toute parcheminée tendrement sur ma joue et son regard doux d'amour plongea dans le mien . Je compris que c'était sans doute un dernier adieux, à ce même moment j'entendis vociférer madame kruger . Je me retournais pour répondre une quelconque excuse . Le temps d'un souffle , la vieille femme disparue aussi légèrement qu'une feuille morte me laissant pleins d'espoirs vains.
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