le narrateur, absent, adopte un point de vue omniscient. Il décrit le petit Dolphi surnom aussi "Laitue" qui n'a rien pour plaire: physiquement, il est maigre et pâle, moralement, il est peureux et rejeté par les autres et s'ennuie. Même sa mère le repousse: Elle l'envoie jouer avec les autres et minimise les insultes des autres enfants qu'il reçoit. Contrairement à lui, les autres sont riches. Il sont forts, beaux... Ils sont en groupe et sont tous blond contrairement a lui qui est brun. Un jour les autres enfants lui propose de jouer avec lui. Mais en réalité c'est un piège. Il ont tendu une ficelle qui case sa chute puis tous le piétine, le frappe, le bombardent de balles d'argile. Il se sent trahi par ses "compagnons d'armes" qui ont détruit son fusil. Sa mère n'a pas un mot de consolation: elle lui fait des reproches et se mets en colère. Dans un monologue intérieur, elle énoncé ses regrets "pourquoi" et l'imagine en bureau crate soumis. Le lecteur prend pitié de cet enfant jusqu'à ce qu'on découvre que Dolphi est Adolphe Itler. Le narrateur nous montre l'importance de l'éducation: il a fait ce que rêve sa mere: un chef charismatique!
