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bonjour qq1 peut m'aidez ce texte pour recopie à, la première personne du pluriel vous feriez tous les modifications qui s'imposent

Ma mère dans les bras de qui je réfugiais alors ne comprenait rien à mes cris, mais Éléonore et Mary, toutes deux spécialisées dans l'invisible, levaient les sourcils et disaient simplement: "Il a du encore voir quelque chose." Or, je n'avaient rien vu, sinon que les vêtements bougeaient et s’écartaient,mais,à l'heure ou j'écrit ces lignes, je me souviens de l'inexprimable horreur que me causait la noire présence à peine devinée.
Qu'il y eut "quelque chose", cela ne fait aucun doute dans mon esprit, mais quoi? Je ne puis guère que poser la question.Avec le temps , j'ai pu constater qu'appeler le diable est inutile, parce qu'il ne nous quitte jamais d'une semelle.

Sagot :

Notre mère dans les bras de qui nous réfugions alors ne comprenait rien a nos  cris,mais Éléonore et Mary; toutes deux spécialisés dans l'invisible; levaient les sourcils et disaient simplement;"ils ont du encore voir quelque chose".Or, nous avions rien vue,sinon que les vêtement bougeaient et s'écartaient , mais à l'heure ou nous écrivons ces lignes ,nous nous souvenons de l'inexprimable horreur que nous causait la noir présence à peine devinée.
Que nous avons "quelque chose",cela ne fait aucun doute dans notre esprit, mais quoi? Nous ne puissions guère que poser la question. Avec le temps nous avons pu constater qu'appeler le diable est intitule ,parce qu'il ne nous quitte jamais
Maudmarine
Notre mère dans les bras de qui nous nous réfugions alors ne comprenait rien à nos cris, mais Éléonore et Mary, toutes deux spécialisées dans l'invisible, levaient les sourcils et disaient simplement: "Ils ont dû encore voir quelque chose." Or, nous n'avions rien vu, sinon que les vêtements bougeaient et s’écartaient,mais,à l'heure où nous écrivons ces lignes, nous nous souvenons de l'inexprimable horreur que nous causait la noire présence à peine devinée.
Qu'il y eut "quelque chose", cela ne fait aucun doute dans notre esprit, mais quoi? Nous ne puissions guère que poser la question. Avec le temps ,nous avons pu constater qu'appeler le diable est inutile, parce qu'il ne nous quitte jamais d'une semelle.
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