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JAI UNE REDACTION DEMAIN ET JARRIVE PAS A CORRIGER LA CONJUGAISON ET ELLE EST AU PASSE DONC IL FAUT LES VALUERS DE LIMPARFAIT PASSE SIMPLE ET TOUT
LA VOICI
Mais moi, moi, moi ? Quelle chute ! Quel déshonneur ! Et quelle sentence !
Je me sentis ridicule, j'aurais dû me comporter en héros, mais je m'étais comporté comme un lâche. Je n'arrivais pas à y croire, je me faisais pitié. Dans les journaux, ils avaient dit que c'était une simple bousculade, mais je repensais à l'accident. Les cris des victimes, mon coude poignardant une masse humaine, un visage qui me mordait. Non ce n'était pas une simple bousculade, alors pourquoi c'était ce que disaient les journaux. Je décidai d'aller à la maison d'édition pour en avoir le cœur net.
J'étais dans le métro, assis. J'avais envie de vomir. J'étais parti à la maison d'édition, et je n'arrivais pas à y croire. En restant, je leur avais posé si par rapport à l'accident c'était vrai ou pas, je les avais informé aussi que j'étais présent sur le lieu. Les médias n'avaient raconté que des salades. Je le savais, c'était bien plus qu'un simple bousculade. Il eut le feu, deux morts et plusieurs blessés. Pourquoi les journaux m'avaient raconté la vérité car j'étais un témoin. J'étais écœuré. J'aurais pu sauver des personnes, mais je ne le fis pas. Je me souvenais de la femme et l'enfant. Je ne voudrais pas imaginer que se soit eux les morts. Je les avais regardés droit dans les yeux et je ne fis rien. Toujours assis dans le métro, j'essayais de penser ce que je pourrais faire. Peut-être en allant sur le lieux, je ne culpabiliserais pas. Le métro fus arrêté, les portes s'ouvrit. Je descendis et je montai les escaliers. Je me retrouvais dehors. Je pris la rue de l'Est et je fus arrivé. Je vis les policiers au loin et, et... le cinéma. Autant dire le reste qu'il y avait. C'était un désastre. Il n'y avait plus rien. J'ai commencé à pleurer. Ma tête tournais, je transpirais, je ne voyais plus rien. Je m'écroulais. J'entendis un passant me dire si j'allais bien. Si sa serai moi je n'aurai rien fait, la preuve pour le cinéma, les policiers s'approchèrent de moi. Dire la vérité, dire la vérité. C'est ce que je pensais. Ils me demandèrent si je me sentis bien et là je leur avouai. Après cette phrase je tombai dans les pommes. J'ouvris les yeux peu à peu et je ne savais pas où j'étais. J'entendis des martèlement dans ma tête. Je vis des pompiers à côté de moi. Je savais où j'étais maintenant, dans un camion de pompiers. J'aime les pompiers car ils sauvent énormément de vie, pas comme moi. On me donna une gorgée d'eau. Je ne voulais pas en boire, laisser moi mourir, je méritais de mourir, ce que j'avais fait étais inhumains. Les pompiers me posaient des questions si j'allais bien, non je n'allais pas bien, deux morts, des blessés et moi je n'avais rien fait. La police était rentré dans le camions et ils demandaient aux pompiers si ils pouvaient me poser des questions. Ils dirent oui. Je me leva et je leur demanda qui était les deux morts. Ils me regardèrent perplexe. Je leur repose la question. Un des policiers sorti une feuille et il répondit qu'une femme du nom de Clara Brickford et son fils Bradley Brickford âgée de trois ans étaient morts. Une femme et son enfant. Non, non c'était la femme et l'enfant. J'avais vomi et je tomba inconscient.
Je suis dans la salle de cinéma. Tout à coup on crie " Au feu, au feu". Je fait un bond des gradins et je dis aux personnes " Doucement, sortez doucement". J'aide les personnes à se relevé du sol. Au loin je vois une femme et son enfant. Je me précipite, je les portent dans mes bras et je les fait sortir. Le cinéma s'écroule mais les victimes sont tous vivants. Aucun morts et blessé. Je suis un héros, je rêve d'être héros.
MERCI


Sagot :

Mais moi, moi, moi ? Quelle chute ! Quel déshonneur ! Et quelle sentence ! 
Je me sentis ridicule, j'aurais dû me comporter en héros, mais je m'étais comporté comme un lâche. Je n'arrivais pas à y croire, je me faisais pitié. Dans les journaux, ils avaient dit que c'était une simple bousculade, mais je repensais à l'accident. Les cris des victimes, mon coude poignardant une masse humaine, un visage qui me mordait. Non ce n'était pas une simple bousculade, alors pourquoi c'était ce que disaient les journaux. Je décidai d'aller à la maison d'édition pour en avoir le cœur net.
J'étais dans le métro, assis. J'avais envie de vomir. J'étais parti à la maison d'édition, et je n'arrivais pas à y croire. En restant, je leur avais posé si par rapport à l'accident c'était vrai ou pas, je les avais informé aussi que j'étais présent sur le lieu. Les médias n'avaient raconté que des salades. Je le savais, c'était bien plus qu'un simple bousculade. Il eut le feu, deux morts et plusieurs blessés. Pourquoi les journaux m'avaient raconté la vérité car j'étais un témoin. J'étais écœuré. J'aurais pu sauver des personnes, mais je ne le fis pas. Je me souvenais de la femme et l'enfant. Je ne voudrais pas imaginer que se soit eux les morts. Je les avais regardés droit dans les yeux et je ne fis rien. Toujours assis dans le métro, j'essayais de penser ce que je pourrais faire. Peut-être en allant sur le lieux, je ne culpabiliserais pas. Le métro fus arrêté, les portes s'ouvrit. Je descendis et je montai les escaliers. Je me retrouvais dehors. Je pris la rue de l'Est et je fus arrivé. Je vis les policiers au loin et, et... le cinéma. Autant dire le reste qu'il y avait. C'était un désastre. Il n'y avait plus rien. J'ai commencé à pleurer. Ma tête tournais, je transpirais, je ne voyais plus rien. Je m'écroulais. J'entendis un passant me dire si j'allais bien. Si sa serai moi je n'aurai rien fait, la preuve pour le cinéma, les policiers s'approchèrent de moi. Dire la vérité, dire la vérité. C'est ce que je pensais. Ils me demandèrent si je me sentis bien et là je leur avouai. Après cette phrase je tombai dans les pommes. J'ouvris les yeux peu à peu et je ne savais pas où j'étais. J'entendis des martèlement dans ma tête. Je vis des pompiers à côté de moi. Je savais où j'étais maintenant, dans un camion de pompiers. J'aime les pompiers car ils sauvent énormément de vie, pas comme moi. On me donna une gorgée d'eau. Je ne voulais pas en boire, laisser moi mourir, je méritais de mourir, ce que j'avais fait étais inhumains. Les pompiers me posaient des questions si j'allais bien, non je n'allais pas bien, deux morts, des blessés et moi je n'avais rien fait. La police était rentré dans le camions et ils demandaient aux pompiers si ils pouvaient me poser des questions. Ils dirent oui. Je me leva et je leur demanda qui était les deux morts. Ils me regardèrent perplexe. Je leur repose la question. Un des policiers sorti une feuille et il répondit qu'une femme du nom de Clara Brickford et son fils Bradley Brickford âgée de trois ans étaient morts. Une femme et son enfant. Non, non c'était la femme et l'enfant. J'avais vomi et je tomba inconscient.
Je suis dans la salle de cinéma. Tout à coup on crie " Au feu, au feu". Je fait un bond des gradins et je dis aux personnes " Doucement, sortez doucement". J'aide les personnes à se relevé du sol. Au loin je vois une femme et son enfant. Je me précipite, je les portent dans mes bras et je les fait sortir. Le cinéma s'écroule mais les victimes sont tous vivants. Aucun morts et blessé. Je suis un héros, je rêve d'être héros.
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