Je voudrais des commmentaires pour ameliorer le texte
(est ce que la chute vous la comprenez???)



Comme d’habitude, Leo se réveilla avec une folle envie d’aller à l’école. C’était la seule place où il pouvait s’épanouir pleinement. Le gamin se dépêcha donc de s’habiller. Puisqu’il ne voulait ni déranger sa sœur Christine ni déranger son frère Alfred, il passa sur la pointe de ses pieds près de leurs chambres. Lorsqu’il descendit les escaliers, il ne pouvait pas arrêter de penser à ses copains qui étaient surement déjà à l’école. Rapidement, il avala quelques bouchées avant de prendre la route .Comparativement à d’habitude, le jeune garçon arriva à sa destination dans moins de dix minutes. Pour reprendre son souffle, il s’arrêta quelques secondes. Il se releva et chercha du coin de l’œil ses amis. Il ne tarda pas à retrouver ceux qu’il adorait plus que tout au monde. Toutefois, ce ne prit pas beaucoup de temps avant qu’il ne s’aperçoive que leurs regards ne lui étaient pas familiers. Ils débordaient plutôt d’une sorte de mélange entre la haine et le dégoût. Pensant qu’il avait des illusions, Leo s’approcha de ses copains. Lorsqu’il n’était qu’à un pas d’eux ses deux copains lui lancèrent des regards valant mille coups de poing dans l’estomac. La cloche sonna et tous, incluant Leo, coururent vers leurs cours. Toutefois, le gamin ne pouvait aucunement se concentrer sur la matière vue puisqu’il les regards lancés par ses amis clignotaient dans sa tête a mille kilomètres a l’heure .Le moment tant attendu de Leo se produit : la cloche sonna. Il avait déjà tout imaginé la confrontation qu’il aurait avec ses copains. Toutefois, celle qui se produit en réalité n’était nullement pareille à celle dans sa tête. En bloquant leur passage, Leo leur demanda la cause de leur colère. Ceux-ci répondirent, d’une seule voix, qu’ils ne pouvaient plus être son ami à cause de sa différence physique et quittèrent l’école avec leurs parents. Avec des larmes aux yeux, Leo, retourna chez lui et expliqua toute la situation à sa mère. Celle-ci lui expliqua qu’à cause de cette différence physique particulière tout un groupe d’individus perdaient leurs droits. Elle rajouta, pour lui remonter la morale, que tous les gens étaient égaux. Lorsqu’il entendit les paroles, il savait qu’il voulait lutter pour ses droits. Donc, avec beaucoup de dévouement, il s’exclama :<<Maman,j'ai un reve>>