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Sagot :
Cher journal,
Je m’appelle Ludivine. Mon nom n’est peut-être pas étrange mais par contre mon vécu l’est. Je m’étais promise de ne conter mon histoire à personne, mais, maintenant que j’ai commencé, je ne peux plus reculer… C’était une journée d’hiver et comme chaque jour de la semaine, je jetais un coup d’œil à mes e-mails. Que des publicités ! Soudain, je tombai sur un e-mail m’expliquant : ‘’ A l’occasion de ton anniversaire, tu es invitée à venir gratuitement passer une journée à Disneyland ’’. Eh oui, aujourd’hui c’était mon anniversaire, j’avais 14 ans. J’étais très heureuse de cette nouvelle, je n’en croyais pas mes yeux, je lisais d'ailleurs le message plusieurs fois. Cela me permettrait de fêter mon anniversaire dans un cadre féerique. Mais aujourd’hui, c’était un jour d’école, j’ai donc préféré reporter ce séjour à demain. Je pris mon petit déjeuner, me préparai, me pomponnai, pris mon cartable et je partis à l’école. J’avais 10 minutes d’avance. Je saluai mes amies et leur parlai de cette invitation. Je leur ai proposé de partager cette journée avec moi. mais elles ont toutes décliné mon invitation. J’étais un peu déçue, elles auraient pu m'accompagner le long de ma journée d'anniversaire ! Cela m’aurait fait très plaisir. La journée se poursuivait joyeusement. Vers 17h, j’étais chez moi. Je bus un chocolat chaud et partis faire mes devoirs. A 22h, je m’assoupis et la nuit se passa tranquillement. Aujourd’hui, ce fut enfn le Jour-J. Je me mis sur mon trente et un, pris mon argent de poche et partis à Disneyland. Arrivée sur place, il y avait une foule monstrueuse tel un énorme troupeau de mouton. Après avoir pris mon billet d’entrée, je fis quelques attractions à sensation. Que du bonheur ! Je m’asseyais dans le café ‘’ Les saveurs de votre enfance ‘’ et je commandai une pomme d’amour. Au premier croc, je me sentais comme une reine, belle et légère, puis après cette sensation me transporta subitement dans le passé, mon enfance, mes week-ends chez mamie, mes réveillons de Noël avec mes tantes, ma meilleure amie Inès que j’ai laissée à Montréal. Je repartis avec des souvenirs plein la tête. Je me promenai dans le parc d’attraction quand je vis un château hanté. J’eus un frisson rien qu’en l’observant. Etait-il vraiment hanté ? Curieuse comme je suis, j’entrai dans ce château. J’avançais pas à pas. Il faisait noir, noir ! Je ne voyais rien, je ne savais pas où j’atterrirai. Il me sembla avoir entendu la porte claquer. Je retournai alors sur mes pas. On m’avait enfermée ! D’un seul coup, ma gorge se serra. Puis soudain, je crus entendre des bruits de pas. Une personne qui montait des escaliers ? J’eus une frayeur abominable. Je criais, je criais au secours de toutes mes forces mais, personne ! Les pas devenaient de plus en plus forts. Une terreur insurmontable s’empara de moi. Soudain, j’eus l’impression d’entendre une fenêtre se briser et 10 secondes plus tard, quelque chose arrivait vers moi. Je tremblais. Je commençais à distinguer deux silhouettes. On aurait dit un couple. Ces visages m’étaient familiers. Ils émettaient beaucoup de lumière et étaient un peu transparents. Mais…mais…mais c’était mes parents ! Je commençais à verser de grosses larmes. Je voulais leur faire des câlins, les embrasser mais je ne pouvais pas. Ils étaient décédés il y a maintenant 5 ans, lors d’un grave accident de voiture. Ma mère vêtue comme une princesse m’a fait signe de les suivre. J’avançais en les contemplant, en tressaillant, en ayant peur de ce qui m’arrive mais je voyais mes parents, je savais qu’ils seraient bienveillants et ne me feraient pas de mal. Ils m’amenèrent à la sortie et partirent. Je courus après eux, je voulais les rejoindre mais je ne pouvais pas, mes jambes étaient lourdes comme clouées sur place. Je pleurais de toutes mes forces en pensant que je ne les reverrais jamais. Je rentrai chez moi en tremblant, étonnée de cette apparition. Je continuais à pleurer. Pourquoi avais-je eu un passé si mouvementé ? Etait-ce un rêve ? Etait-ce les effets indésirables de cette pomme d’amour ? Etait-ce vraiment la réalité ? Quelqu’un m’en voulait pour me faire vivre un enfer ? Qui sait...
Voilà j'ai corrigé quelques syntaxes et fautes d'orthographe. Ton texte est triste
Je m’appelle Ludivine. Mon nom n’est peut-être pas étrange mais par contre mon vécu l’est. Je m’étais promise de ne conter mon histoire à personne, mais, maintenant que j’ai commencé, je ne peux plus reculer… C’était une journée d’hiver et comme chaque jour de la semaine, je jetais un coup d’œil à mes e-mails. Que des publicités ! Soudain, je tombai sur un e-mail m’expliquant : ‘’ A l’occasion de ton anniversaire, tu es invitée à venir gratuitement passer une journée à Disneyland ’’. Eh oui, aujourd’hui c’était mon anniversaire, j’avais 14 ans. J’étais très heureuse de cette nouvelle, je n’en croyais pas mes yeux, je lisais d'ailleurs le message plusieurs fois. Cela me permettrait de fêter mon anniversaire dans un cadre féerique. Mais aujourd’hui, c’était un jour d’école, j’ai donc préféré reporter ce séjour à demain. Je pris mon petit déjeuner, me préparai, me pomponnai, pris mon cartable et je partis à l’école. J’avais 10 minutes d’avance. Je saluai mes amies et leur parlai de cette invitation. Je leur ai proposé de partager cette journée avec moi. mais elles ont toutes décliné mon invitation. J’étais un peu déçue, elles auraient pu m'accompagner le long de ma journée d'anniversaire ! Cela m’aurait fait très plaisir. La journée se poursuivait joyeusement. Vers 17h, j’étais chez moi. Je bus un chocolat chaud et partis faire mes devoirs. A 22h, je m’assoupis et la nuit se passa tranquillement. Aujourd’hui, ce fut enfn le Jour-J. Je me mis sur mon trente et un, pris mon argent de poche et partis à Disneyland. Arrivée sur place, il y avait une foule monstrueuse tel un énorme troupeau de mouton. Après avoir pris mon billet d’entrée, je fis quelques attractions à sensation. Que du bonheur ! Je m’asseyais dans le café ‘’ Les saveurs de votre enfance ‘’ et je commandai une pomme d’amour. Au premier croc, je me sentais comme une reine, belle et légère, puis après cette sensation me transporta subitement dans le passé, mon enfance, mes week-ends chez mamie, mes réveillons de Noël avec mes tantes, ma meilleure amie Inès que j’ai laissée à Montréal. Je repartis avec des souvenirs plein la tête. Je me promenai dans le parc d’attraction quand je vis un château hanté. J’eus un frisson rien qu’en l’observant. Etait-il vraiment hanté ? Curieuse comme je suis, j’entrai dans ce château. J’avançais pas à pas. Il faisait noir, noir ! Je ne voyais rien, je ne savais pas où j’atterrirai. Il me sembla avoir entendu la porte claquer. Je retournai alors sur mes pas. On m’avait enfermée ! D’un seul coup, ma gorge se serra. Puis soudain, je crus entendre des bruits de pas. Une personne qui montait des escaliers ? J’eus une frayeur abominable. Je criais, je criais au secours de toutes mes forces mais, personne ! Les pas devenaient de plus en plus forts. Une terreur insurmontable s’empara de moi. Soudain, j’eus l’impression d’entendre une fenêtre se briser et 10 secondes plus tard, quelque chose arrivait vers moi. Je tremblais. Je commençais à distinguer deux silhouettes. On aurait dit un couple. Ces visages m’étaient familiers. Ils émettaient beaucoup de lumière et étaient un peu transparents. Mais…mais…mais c’était mes parents ! Je commençais à verser de grosses larmes. Je voulais leur faire des câlins, les embrasser mais je ne pouvais pas. Ils étaient décédés il y a maintenant 5 ans, lors d’un grave accident de voiture. Ma mère vêtue comme une princesse m’a fait signe de les suivre. J’avançais en les contemplant, en tressaillant, en ayant peur de ce qui m’arrive mais je voyais mes parents, je savais qu’ils seraient bienveillants et ne me feraient pas de mal. Ils m’amenèrent à la sortie et partirent. Je courus après eux, je voulais les rejoindre mais je ne pouvais pas, mes jambes étaient lourdes comme clouées sur place. Je pleurais de toutes mes forces en pensant que je ne les reverrais jamais. Je rentrai chez moi en tremblant, étonnée de cette apparition. Je continuais à pleurer. Pourquoi avais-je eu un passé si mouvementé ? Etait-ce un rêve ? Etait-ce les effets indésirables de cette pomme d’amour ? Etait-ce vraiment la réalité ? Quelqu’un m’en voulait pour me faire vivre un enfer ? Qui sait...
Voilà j'ai corrigé quelques syntaxes et fautes d'orthographe. Ton texte est triste
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