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Urgent !! aidez moi à rédiger un poème sur la révolution française

Sagot :

La révolution Française

En cette révolution 
Il y a des solutions 
Tu obtient ensuite des droits 
Un jour tu règnera les lois

Toi et tes frères peuvent être libre
Tu conquira un jour le Tibre
L'égalité est très touchante 
Alors exprime toi et chante 

Tes frères et toi reposent votre destins
Peu-être un jour y'aura-t-il un festins ?
Vous serais surêment immortel 
Ce sera donc temporels

La révolution sera finie
Vous serez donc des génies
Vous serez des sauveteurs
Comme une étoile brillante et bienfaiteur 

Manounedu131313

en esperant t'avoir aidé :)



 
Dès l'annonce de l'ouverture des états généraux, le souhait de changer la Nation émanait de tous les milieux et on appréhendait avec anxiété ou enthousiasme cet instant. Déjà, un fort élan politique parcourait le pays, Louis XVI et Necker étaient inquiets. Qui allait devenir le maître de la situation ? Est-ce que l'héritage des Lumières s'exprimera pour l'avenir ? Comment les événements allaient-ils se dérouler ? Allait-on changer irrémédiablement le cours de la vie des Français ? Ces questions allaient bientôt trouver leur sens, très vite le poids des privilèges va provoquer un engrenage révolutionnaire qui ne s'achèvera que dix ans plus tard. Les grands événements Le tiers se déclare « Assemblée nationale » Les États Généraux furent ouverts solennellement le 5 mai 1789, très vite une discussion acharnée éclata sur la façon de voter : « par tête », une voix pour chaque homme, ou « par ordre », une seule voix pour chacun des trois états comme le voulait la tradition. Sous l'impulsion de Mirabeau, les députés du tiers état refusèrent de vérifier leur pouvoir afin d'éviter à tout prix le vote « par ordre ». Ils espéraient ainsi gagner du temps, les différentes tentatives pour débloquer la situation s'étaient révélées inutiles. Conscients de représenter la majorité des Français, les délégués populaires du tiers se retirent le 17 juin et se constituent eux-mêmes en Assemblée Nationale. Le même jour, l'Assemblée interdit toute levée d'impôts non vérifiée et décrétée par elle-même. Naturellement, ni le roi ni les privilégiés n'apprécièrent cette nouveauté. Louis XVI se résout à la rigueur et invita les trois ordres à reprendre leur place lors d'une prochaine séance royale.