Pour vendredi 30 janvier, je dois rédiger un commentaire littéraire intégral de l'extrait du chapitre 28 de Candide (de la page 119 «Mais vous, mon cher Pangloss..» jusqu'à la page 121 «La matière subtile..»
je vous met donc un petit lien :
http://www.lyc-lurcat-perpignan.ac-montpellier.fr/intra/fra/oeuvres/candide/chap28.htm

J'ai fais ceci mais je trouve que c'est pas assez développé.. J'y arrive pas.. Pouvez vous m'aider s'il vous plait ? Merci d'avance.

Mouvement littéraire : Les lumières.
Type de sujet : Commentaire littéraire.
Texte étudié : Candide « Ce qui arrivera à Candide, à Cunégonde, à Pangloss, à Martin, ect. » ( Extrait du chapitre XXVIII)
Auteur : Voltaire (1694 – 1778)

Introduction : Candide ou l'Optimisme est un conte philosophique réalisé par Voltaire, et paru à Genève en janvier 1759 (Au XVIII ème siècle), pour dénoncer l'injustice,critiquer Leibniz, tout au long de l'oeuvre Voltaire critique l'Optimisme,la religion,la guerre,et utilise l'ironie, l'absurde.

I.L'optimisme de Pangloss.

1.Les croyances.

Pangloss, qui a miraculeusement survécu à la pendaison, car ce jour-là il avait plu à verse disait-il. Il aurait dû être brûlé mais l'orage était si violent que le bourreau désesperait d'allumer le feu. Donc on le pendit. Mais la corde était mouillée et glissait, donc Pangloss arrivait encore à respirer. Un chirurgien acheta alors son corps, et lui fit une incision cruciale, Pangloss poussa des cris pendant l'opération alors le chirurgien fuya car il crut disséquer le diable, celui-ci et sa femme prient peur et perdirent conscience pendant un instant. Quand ils furent un peu revenus à eux, la chirurgienne répliqua au chirurgien: ''Mon bon, de quoi vous avisez-vous aussi de disséquer un hérétique ? Ne savez-vous pas que le diable est toujours dans le corps de ces gens-là ? Je vais vite chercher un prête pour l'exorciser.''
Il s'agit donc d'une fausse interrogation puisque la question comporte la réponse. Donc une question rhétorique.



2.Le diable.

Les gens au XVIIIème siècle croient en Dieu mais aussi au diable, la chirurgienne veut exorciser Pangloss car elle pense que le diable est en lui. C'est pour cela que le chirurgien et sa femme perdirent conscience car ils pensaient tous deux aussi que le diable était en lui. Alors que Pangloss avait le torse ouvert et que l'incision cruciale lui fit jeter un cri. Pangloss était en état de faiblesse. Et ne pouvait rien faire, à part pousser des cris.



II.Critique sur la religion.

1. La satire dans la religion.

Un jour Plangloss décida d'entrer dans une mosquée, où il n'y avait qu'un imam et une jeune dévote qui faisaient leur prières.
La gorge de la jeune femme était découverte car elle avait laissé son bouquet de fleur tomber, alors Pangloss le ramassa et le remit en place respectueusement, l'iman fut en colère car ce dernier pris du temps à le remettre.Et comme il s'aperçu que Pangloss était chrétien il cria à l'aide.
On le mena alors chez le ''cadi'', qui est un juge musulman. Qui lui fit donner cents coups de lattes sur la plante des pieds. Cents coups de lattes, c'est une hyperbole. Et on l'envoya aux galères (Condamnation pénale). Il fut enchainé dans la même galère et au même banc que monsieur le baron. On peut penser que l'imam n'a pas apprécier que Pangloss replace le bouquet sur la jeune devote, puis l'imam se mit en colère car celui ci était chrétien. Voltaire utilise donc la satire dans la religion.

2. Des actes malsains.

Il y a une énumération à la ligne 70 : ''Il y avait même dans cette galère quatre jeunes gens de Marseille, cinq prêtes napolitains, et deux moines de Corfou...''
Pangloss prétendait que c'était beaucoup plus permis de remetre un bouquet sur la gorge d'une femme que d'être tout nu avec un icoglan.
L'adverbe ''que'' à la ligne 77, montre que c'est une comparaison car Pangloss compare ses actes à ceux du baron.