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Sagot :
La ville moderne fourmille d’activités.
Les industries qui s’implantent au
cœur des villes ou dans leurs proches
faubourgs créent une nouvelle classe
sociale ouvrière et citadine qui va se
substituer, petit à petit, aux métiers
artisanaux. L’ouverture sur les boulevards
de grands magasins annonce
d’autre part le déclin du petit commerce
qui subsiste néanmoins à travers
les marchés populaires. D’autres
petits métiers se créent ; des lois plus
libérales et les progrès de l’impression
entraînent ainsi une croissance
spectaculaire de la presse et le vendeur
de journaux devient une figure
incontournable de la ville moderne.
Dans les métropoles où fleuves et
ports connaissent une activité plus
intense, péniches et cargos, dockers,
ouvriers et marchands, charrettes et
haquets animent de jour et de nuit les
zones portuaires La vie nocturne de la ville moderne
est à l’image de son essor démographique
et économique, vive et trépidante.
Le confort apporté par l’éclairage
public ouvre la nuit au loisir et au
plaisir. Cafés et cabarets se multiplient
et attirent une foule interlope
où se côtoient artistes, bourgeois et
gens de la « bohème ». Les salles de
spectacles, théâtres, opéras deviennent
dès lors le centre des activités Univers d’asphalte et de béton,
la ville peut parfois apparaître
d’une banalité affligeante, on
peut cependant lui insuffler
une part de poésie et d’imaginaire,
comme en témoigne
Marcovaldo, personnage d’Italo
Calvino, arpentant sa ville,
désertée en août, et qui s’émerveille
de voir : « les rues comme
des creux de vallées ou des lits
de fleuves à sec, des maisons
comme des chaînes de montagnes escarpées ou les parois d’une falaise. »
Ainsi, qu’il s’agisse de sublimer une cité existante ou d’orchestrer l’évasion
vers une ville imaginaire, les photographes ont recours à de nombreux artifices.
La fenêtre, d’abord, offre à Sudek, Shiraoka et Tahara, le cadre d’une échappatoire
vers la rêverie. Les jeux de reflets, la profondeur des noirs et la sensualité
du grain photographique que l’on retrouve dans les « Paysages réels »
de Stéphane Lallemand ou dans les photographies d’autoroutes de Nancy
Wilson-Pajic finissent de donner aux images leur patine onirique.
Ensuite, chez certains photographes comme Bob Leavitt ou Jean-Luc
Moulène, c’est l’enfant qui guide le spectateur dans une ville où la poésie
peut être présente en toute chose ; la Môme de Moulène est alors semblable
à une « Zazie dans le métro », parcourant Paris au gré de sa fantaisie.
Enfin, en inventant des architectures futuristes, les images de Nicolas Moulin
nous plongent dans un univers de science-fiction urbaine entre désolation
Une ville moderne c'est un progrès permanent sur l'écologie , la nourriture et sur beaucoup d'autre choses . Une ville moderne permettrai sûrement de ne plus avoir besoin de voiture il y aurai tous à disposition près de chez toi et des autres . La nourriture , il y aurai moins de produit chimique dans les fruit et légumes , moins de fraude sur la viande , plus de choses fraîche et moins d'exportation . Les gens de pays différent et nous vivrons ensembles et il n'y aurai plus de racisme .
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