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Sagot :
Je suis en vacances chez ma grand-mère, je m'ennuie un peu. Elle me prpose d'aller dans le grenier, peut-être me dit -elle trouveras -tu un jeu, un livre ? A l'idée d'explorer le grenier, ma paresse s'envole et je grimpe à toute hâte les escaliers qui mènent à cet endroit.
Il fait sombre et je cherche, non sans mal, à trouver l'interrupteur. Heureusement une petite lucarne fait jaillir un rayon de lumière.Je regarde autour de moi, tout est entassé pêle-mêle, comme ci chacun était venu pendant des années déposer un objet sans se préoccuper de sa place.
La poussière que je soulève de mes mains me fait tousser, éternuer. Je découvre des vieux livres d'école, des jeux de quilles, des cubes de bois. Un mannequin habillé d'une robe me fait sursauter. Je continue mon exploration, j'ouvre des boites, je pousse des vieux meubles... J 'ouvre 'est pourtant avec elle, il y a quelques années que j'arpentais le vouloir en long et en large de la maison de mes vacances. J'étais petit en ce temps là je devais avoir trois ou quatre ans, cette trottinette je l'avais eu pour Noël et mon grand père, qui était menuisier, me l'avait fabriquée. Dans mes mains, aujourd'hui elle ressemble à une miniature.
Mes yeux se mouillèrent malgré moi. J'ignorai qu'elle m'attendais là. Je la regardais avec tendresse et dès que le la touchais, tout me revenait en mémoire. La douceur de ce Noël, mes éclats de rire, la joie de mon grand père, et ma fierté de tenir en équilibre dessus.
Je pris alors ma découverte, et je la descendais pour la montrer comme un trophée à ma grand-mère. Que d'émotions ! Elle me regarda alors avec tendresse et dit : "comme ton grand-père serait heureux de te voir la choyer ainsi". Je la serrais fort dans mes bras comme pour la première fois et je la remerciais d'avoir conserver ce trésor inestimable pour moi.
Il fait sombre et je cherche, non sans mal, à trouver l'interrupteur. Heureusement une petite lucarne fait jaillir un rayon de lumière.Je regarde autour de moi, tout est entassé pêle-mêle, comme ci chacun était venu pendant des années déposer un objet sans se préoccuper de sa place.
La poussière que je soulève de mes mains me fait tousser, éternuer. Je découvre des vieux livres d'école, des jeux de quilles, des cubes de bois. Un mannequin habillé d'une robe me fait sursauter. Je continue mon exploration, j'ouvre des boites, je pousse des vieux meubles... J 'ouvre 'est pourtant avec elle, il y a quelques années que j'arpentais le vouloir en long et en large de la maison de mes vacances. J'étais petit en ce temps là je devais avoir trois ou quatre ans, cette trottinette je l'avais eu pour Noël et mon grand père, qui était menuisier, me l'avait fabriquée. Dans mes mains, aujourd'hui elle ressemble à une miniature.
Mes yeux se mouillèrent malgré moi. J'ignorai qu'elle m'attendais là. Je la regardais avec tendresse et dès que le la touchais, tout me revenait en mémoire. La douceur de ce Noël, mes éclats de rire, la joie de mon grand père, et ma fierté de tenir en équilibre dessus.
Je pris alors ma découverte, et je la descendais pour la montrer comme un trophée à ma grand-mère. Que d'émotions ! Elle me regarda alors avec tendresse et dit : "comme ton grand-père serait heureux de te voir la choyer ainsi". Je la serrais fort dans mes bras comme pour la première fois et je la remerciais d'avoir conserver ce trésor inestimable pour moi.
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