1- On peut agir pour la autres afin d'avoir une satisfaction pour soi même, donner un sens concret à sa vie. Qui est "apporter le bonheur" car la satisfaction d'avoir fait le bonheur de quelqu'un fait aussi notre propre bonheur. Car on sait que que dans la vie le plus important est d'être heureux. Certains voit comme bonheur seul bonheur d'aimer et d'aider les autres mais réalité cette personne aide car elle a besoin en retour de se sentir aimé pour que se sentiment de bonheur s'accomplisse, en réalité quand on agit pour les autres on agit avant tout pour soi même afin d'obtenir de la reconnaissance. Il étonnant de voir à quel point l’altruisme est finalement de l’égoïsme.
2- La période de carême est avant tout 40 jours passé en l'honneur de ceux qui ont passés 40 ans dans un désert, ce qui devient avant tout un hommage rendu à ces personnes et pour rendre cette hommage les chrétiens tentent pendant 40 jours de vivre de la même façon que ces personnes. C'est un changement du quotidien de leur vie donc c'est un moment d'action.
3- Il faut savoir avant tout que la religion est pour l'homme un ensemble de croyance et dogme entretenu avec le sacré. Tout dogme doit être tenu à être respecté et quand ces dogmes sont en oppositions et que les personnes partisanes de ce dogme veulent l'obliger à chaque individu il se crée forcément des confrontations. "J'ai raison et tu as tord". Et l'homme pour convaincre l'autre utilise comme première arme la peur. Il est vrai que dans beaucoup de religions la mise en place d'un prétendu enfer à bien aidé à la croyance d'une majorité d'individu. On ne croit pas par foi, mais par peur. La peur d'avoir mal agi selon les dogmes et se retrouver en enfer. Donc on ne peut pas parler de solidarité entre les religions car il n'y en a pas. Chaque croyant croient à ses dogmes et revêtent et blâment ceux des autres
Il s'agit bien avant tout de la vision des choses d'un athée ayant rejeté la religion catholique après sa confirmation donc il se peut que mon point de vue parte dans certaines extrémités. Bien que j'accepte que certaine personne puissent croire, elles en sont libres.
