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SVp C'est urgent
Rédigez le début D'un récit fantastique !!!!


Sagot :

Je m’appelle Jessica. J’ai 18 ans. J’habite avec ma famille dans un petit village appelé Chatou. Je suis étudiante au lycée, je me prépare  à obtenir ma terminale.
Un jour, en cheminant au lycée, j’entendis des cris étranges provenant du ciel, c’était des cris stridents, difficiles à comprendre. Juste d’un coup, un livre me faillit me casser le crâne, me tomba dessus complètement ébahie, je contemplais cette énorme masse, en sachant quoi faire je le pris soigneusement, l’ouvris et lis la préface ambiguë et non conclue.
Ne prêtant pas assez d’intérêt à ma trouvaille, je la jetai.
Une fois en classe, comme je voulais prendre mes affaires et à ma grande stupeur, je me rendis compte de la présence du fameux livre dans mon sac à dos.
Au début, je me croyais faire des hallucinations et je passais toute la séance en y songeant.
D’un air hâtif, de me trouver seule, un vieux bohémien me coïncida juste à la sortie du lycée et me dit :
— Ne sois pas si pressée jeune fille ! Ta trouvaille pouvait être menaçante, méfie toi surtout !
Et d’un coup d’éclair l’homme disparut. Une grande terreur me paralysait. Pourtant, je m’efforçais de reprendre mon esprit et continuait ma démarche jusqu’à la maison.
Une fois seule dans ma chambre, je pris le livre, le rouvrit tentant de découvrir son mystère, lorsque je tombais sur une page où l’on avait écrit d’un caractère écarlate comme s’il s’agissait du sang : 
« Chaque personne dont le nom est écrit sur ses pages est mourant ».
J’étais persuadée que c’était une simple plaisanterie, mais tout de même, je succombais à cette curiosité fatale qui m’envahissait terriblement et je notai le nom de Christine ma rivale du lycée.
Le lendemain, comme d’habitude, vers le lycée, j’ai trouvé une foule d’étudiants devant le portail je comprenais qu’un malheur était arrive à quelqu’un.
Eh oui ! Si vous saviez comme j’étais  affligée quand j’appris que c’était Christine qui trouva la mort lors un accident de circulation. Je ne savais pas pourquoi j’avais pensé que c’était ce misérable livre qui aurait  causé cette tragédie. Mais, je crus raisonnablement que c’était une simple coïncidence. Néanmoins, rien ne pouvait empêcher  cette sueur froide qui  inondait tout mon corps.
Alors pour mettre fin a mes soupçons, je refis la même chose mais en notant cette fois me nom du maire  « Georges Henri ».
          J’étais si épuisée que le sommeil s’empara facilement de moi et le tombai sur mon lit comme une naufragée sur la côte. Un bruit aigu m’éveilla en sursaut comme s’il me poussait d’ouvrir la télé comme un pouvoir magique qui m’hypnotisait. J’obéissais à la lettre à cette voix et j’allumai le poste.
  — On vient de recevoir chers téléspectateurs la mauvaise nouvelle de ce matin : La mort tragique et inexplicable du MR  le maire de Chatou  « Georges Henri »… 
—Ah ! Mon dieu, quelle malédiction ! Dites que ce n’est pas vrai ! Ce ne doit pas être une autre coïncidence ! À qui ose-je dire ça ? Personne ne me croira et on me prendra pour une folle criminelle !
Je mis la tête dans mes mains, ne sachant plus quoi faire. Je me croyais devenir sotte, d’ailleurs une terreur insurmontable me saisit toute entière. La seule solution était de me débarrasser du terrible livre. Mais je savais très bien qu’il ne me laisserait jamais en paix.                             
J’étais  convainque que la fuite était vaine et que c’était la fin pour moi. Le livre continuait de me faire subir sa malédiction et son pouvoir maléfique. Je ne m’aperçus  pas de cette transposition mentale qui m’imposait à écrire des noms anonymes dans le livre et qui me métamorphosait en diablesse, scélérate et indigne.
Chaque jour, j’entendais  la mort des dizaines de personnes innocentes, jusqu’au jour où mon père subit lui aussi ce mauvais sort 
—il faut que j’intervienne, sinon ça sera la fin du monde. Je crois que cette fois, je dois écrire mon nom.
La nuit envahissait mon cerveau et dans le terrible silence qui pesait sur la maison, là, assise sur mon lit, j’écrivis mon nom. Soudain, la feuille se dégrada et m’engloutit dedans victorieusement.
Sans pouvoir expliquer, je trouvai subitement dans le même endroit où j’avais découvert ma terrifiante trouvaille, mais cette fois sans aucune idée sur ses traces. Alors, je commençai à courir à toutes jambes jusqu’au lycée où je vis Christine. Je me précipitai à la mettre dans mes bras en la suppliant de me pardonner.
Folle de joie, je laissais la pauvre Christine bouche-bée et en me tournant la tête vers elle, je lui envoyai un clin d’œil.

Un jour alors que je regardais par la fenêtre , nostalgique mon téléphone sonna, une amie me proposa d'aller voir une pièce de théâtre. Le spectacle se fini j'allais au toilette, je tomba sur une loge, poussa la porte et vis un des personnage mordre au coup une victime égorgée , je lâcha un cris de stupeur se qui fit se retourner...