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Sagot :
Toujours à bord de ce foutu bateau! Bon ça ne doit pas être très grave, je m'en vais au Chili en tant que marin mais en réalité je l'ai juste pris pour retourner au Chili, revoir ma famille. Enfin je devais y retourner! Oui, il s'est passé quelque chose et je me devais de l'écrire sur mon petit journal, qui sais, peut être que je mourrais ce soir ou demain ou même maintenant! Bon, je vais vous raconter ce qui s'est réellement passer et si ça se trouve je serais toujours en vie. Ha oui, je ne me suis pas présenté: je m'appelle Robinson et le 29 septembre 1759, ma vie changea à tout jamais.
Le ciel noircit ce qui signifiait qu'une tempête approchait. "Rien de grave": la seule phrase qui me parvient à l'esprit quand je vis le ciel. Malheureusement, trop d'espoir tue l'espoir. En fin d'après midi, le bateau commençait à tanguer fortement, il pleuvait, deux minutes plus tard, il pleuvait des cordes. Encore quelques minutes plus tard, l'eau s'est invitée sur le bateau. Déjà beaucoup de mes compagnons ont été emportés par les monstrueuses vagues qui s'offrait à nous, ou plutôt qui nous rendaient fous. Je parlais, je parlais, je demandais à mes coéquipiers de tenir bon et je ne vis donc pas une vague arrivé vers moi afin de m'engloutir. Lorsque je sortis la tête de l'eau, je ne vis pas le bateau, c'est en me retournant que je le vis, ce fut d'ailleurs la dernière chose que je vis car la mer m'appelait dans ses profondeurs! Ma dernière pensée fut tournée vers le Chili et La Virginie.
Etais-je mort? Ha non, je sens mes mains et mes pieds. J'essaie de me relever mais je remarque que j'ai ma tête enfoncé dans le sable, mais bizarrement je ne me suis pas étouffe, d'ailleurs j'arrive à respirer. Enfin, j'ai réussi à sortir ma tête de l'eau. Je me mis à marcher sur la rive, il faut que je trouve à manger. Je marche donc.
Sa doit maintenant faire des heures et j'ai dû faire le tour de l'île au moins une fois, oui, j'ai remarqué que c'était une île. Encore quelques heures plus tard, je remarquais dans un coin de l'île une sorte de cabane. Ha oui, je pense que je suis le seul survivant car sinon quelque uns de mes compagnons aurait dû échoué sur l'île mais rien, donc, j'en reviens à la conclusion qu'ils sont tous morts. Dommage, je ne leur ai pas dis au revoir. Je marche encore et encore et je me sens seul, extrêmement seul.
Sa fait maintenant plusieurs semaines que je suis sur cette île et je suis toujours tout seul. Enfin, quel idée de penser que quelqu'un viendra sur cette île. J'étais dans mes pensées quand quelque chose vint à côté de moi. Je pris peur mais en remarquant que cette chose ou plutôt cette personne était un être humain, je me décontracta et nous commençâmes à parler. Cette rencontre fut quelque peu ordinaire car j'ai appris que cette homme s'appelait Vendredi. Cet homme était sauvage mais fut une rencontre exceptionnelle, il lui apprit la vie sauvage, les habitats et lui raconta comment ce dernier avait fini par atterrir sur cette île. D'ailleurs la cabane lui appartenait, elle était assez maladroite mais on pouvait y vivre dedans. Je vécu avec lui quelques temps.
Je m'appelle Robinson, Vendredi est mon ami et à ce que je vois je suis toujours vivant.
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