Recevez des conseils d'experts et un soutien communautaire sur FRstudy.me. Recevez des réponses rapides et précises à vos questions de la part de notre communauté de professionnels bien informés prêts à vous aider à tout moment.
Sagot :
Très tôt encore, le vent souffle sur l'eau. Les vagues s'affaissent sur le sable. Nous passerions notre journée dans cette univers calme, et gorgée de soleil.
Nous dévalions le port, nous passions devant, pêcheurs, vendeurs, et tous les habitants locaux. Il s'était levé si tôt et pourtant, la fatigue leur semblait être moins forte que la mienne. Je me rappelle de leur dynamisme, chacun criait à l'étalon. Je les entendais toujours et encore, ici et là, qu'est ce climat était joviale et vivant.
Nous marchions depuis quelques temps, les oiseaux chantaient, dansaient dans le ciel. Les mouettes affamées, annonçaient une bonne journée, sur cette ile.
A l'inverse, nous étions très calme, les professeurs aussi, je ne les avais jamais vu aussi joyeux, et en forme. Surement étais-ce l'air marin qui jouait un rôle dans tous cela.
Nous marchions longtemps, j'avais la sensation de revenir sur nos pas, j'avais l'impression d'être perdue, j'avais l'impression d'être étrangère à cette endroit et familière à ces gens. Une main passa dans mon dos, je me retournais et vit mon ami, cette aventure était comme une chasse dans les jeux télévisés que l'on voit souvent dans la télé. Nous ne savions pas comme eux, là où nous nous rendions, nous n'avions plus aucune notion du temps, les paysages défilaient sans pouvoir nous renseigné sur le lieux où nous étions. Nous sentions des grains dur, sous nos pieds, puis un sol glissant d'une odeur et d'un bruit remarquable. Ce bruit n'était rien d'autre que les oiseaux perché sur l'arbre. Qu'il était grand, l'arbre, pas l'oiseau évidemment.
Mon moteur intérieur commença à lâcher, la fatigue vint, l'odeur des cuisines de restaurant achevât mon énergie. Mes papilles réveillé je ne pensais plus qu'à manger, si seulement je pouvais goûter aux produits locaux, pensais-je. Je sentit comme un poing se former dans mon ventre, il se resserrait, encore encore;..
Avec beaucoup de volonté, et d'acharnement, nous triomphâmes ! C'étais l'heure de nourrir les ogres. Nous étions réellement affamé, nous ne prenions même plus le temps de parler, d'admirer cette vue imprenable sur les iles voisines, le ventre guidait notre cerveau.
Voila un début
Nous dévalions le port, nous passions devant, pêcheurs, vendeurs, et tous les habitants locaux. Il s'était levé si tôt et pourtant, la fatigue leur semblait être moins forte que la mienne. Je me rappelle de leur dynamisme, chacun criait à l'étalon. Je les entendais toujours et encore, ici et là, qu'est ce climat était joviale et vivant.
Nous marchions depuis quelques temps, les oiseaux chantaient, dansaient dans le ciel. Les mouettes affamées, annonçaient une bonne journée, sur cette ile.
A l'inverse, nous étions très calme, les professeurs aussi, je ne les avais jamais vu aussi joyeux, et en forme. Surement étais-ce l'air marin qui jouait un rôle dans tous cela.
Nous marchions longtemps, j'avais la sensation de revenir sur nos pas, j'avais l'impression d'être perdue, j'avais l'impression d'être étrangère à cette endroit et familière à ces gens. Une main passa dans mon dos, je me retournais et vit mon ami, cette aventure était comme une chasse dans les jeux télévisés que l'on voit souvent dans la télé. Nous ne savions pas comme eux, là où nous nous rendions, nous n'avions plus aucune notion du temps, les paysages défilaient sans pouvoir nous renseigné sur le lieux où nous étions. Nous sentions des grains dur, sous nos pieds, puis un sol glissant d'une odeur et d'un bruit remarquable. Ce bruit n'était rien d'autre que les oiseaux perché sur l'arbre. Qu'il était grand, l'arbre, pas l'oiseau évidemment.
Mon moteur intérieur commença à lâcher, la fatigue vint, l'odeur des cuisines de restaurant achevât mon énergie. Mes papilles réveillé je ne pensais plus qu'à manger, si seulement je pouvais goûter aux produits locaux, pensais-je. Je sentit comme un poing se former dans mon ventre, il se resserrait, encore encore;..
Avec beaucoup de volonté, et d'acharnement, nous triomphâmes ! C'étais l'heure de nourrir les ogres. Nous étions réellement affamé, nous ne prenions même plus le temps de parler, d'admirer cette vue imprenable sur les iles voisines, le ventre guidait notre cerveau.
Voila un début
Merci de contribuer à notre discussion. N'oubliez pas de revenir pour découvrir de nouvelles réponses. Continuez à poser des questions, à répondre et à partager des informations utiles. FRstudy.me est votre partenaire pour des solutions efficaces. Merci de votre visite et à très bientôt.