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Sagot :
Soldat Smith
Boulevard des guerriers
le 17 décembre1946
Madame,
je ne sais comment vous le dire mais je suis sincèrement navré. En effet, maintenant que la guerre est terminée je peux vous avouer que je suis l'homme qui a tué votre mari. Je sais que je ne peux justifier mon acte mais je vais tout de même essayer :
C'était une nuit aussi froide que celle ci, nous marchions depuis des heures quand nous avons décidé de prendre congé dans un village perdu. Nous étions épuisé et nous ne nous attendions pas à croiser d'ennemis. Quelle a été notre surprise lorsqu'un chef allemand et d'autres soldats nous ont attaqué ! C'était la nuit et nous ne voyions rien. C'est alors que sans le vouloir j'ai tiré sur lui. Sur votre mari. Je le connaissais à peine, nous venions de sympathiser durant notre marche. J'étais affolé, je venais de tuer un des miens. J'ai eu tellement peur et honte que dans la panique de tout le monde c'est un allemand que nous avons accuser. Nous l'avons fusillé.
Depuis ce jour chère madame je vis avec ce souvenir qui me hante chaque nuit. Je sais que de vous avouer mon crime ne vous fera pas revenir votre amour perdu mais j'espère que cela allègera un peu ma peine.
Vous trouverez sans doute cette lettre assez cruelle et directe mais je ne peux broder autour d'un sujet si important. Vous devez certainement me haïr et je le comprends parfaitement car moi aussi je me hais d'avoir commis un tel acte.
Encore milles excuses et mes sincères condoléances.
M.Smith
Boulevard des guerriers
le 17 décembre1946
Madame,
je ne sais comment vous le dire mais je suis sincèrement navré. En effet, maintenant que la guerre est terminée je peux vous avouer que je suis l'homme qui a tué votre mari. Je sais que je ne peux justifier mon acte mais je vais tout de même essayer :
C'était une nuit aussi froide que celle ci, nous marchions depuis des heures quand nous avons décidé de prendre congé dans un village perdu. Nous étions épuisé et nous ne nous attendions pas à croiser d'ennemis. Quelle a été notre surprise lorsqu'un chef allemand et d'autres soldats nous ont attaqué ! C'était la nuit et nous ne voyions rien. C'est alors que sans le vouloir j'ai tiré sur lui. Sur votre mari. Je le connaissais à peine, nous venions de sympathiser durant notre marche. J'étais affolé, je venais de tuer un des miens. J'ai eu tellement peur et honte que dans la panique de tout le monde c'est un allemand que nous avons accuser. Nous l'avons fusillé.
Depuis ce jour chère madame je vis avec ce souvenir qui me hante chaque nuit. Je sais que de vous avouer mon crime ne vous fera pas revenir votre amour perdu mais j'espère que cela allègera un peu ma peine.
Vous trouverez sans doute cette lettre assez cruelle et directe mais je ne peux broder autour d'un sujet si important. Vous devez certainement me haïr et je le comprends parfaitement car moi aussi je me hais d'avoir commis un tel acte.
Encore milles excuses et mes sincères condoléances.
M.Smith
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