J'avais fais cette poésie. Vu que dans l'idée c'est un sonnet, il n'y as que 14 vers
A cette heure matinale tout est calme est serein
Aucun bruit n’entrave le silence nocturne
Car nous somme en présence d’une forêt taciturne
Où vient nous attirer la bonne odeur des pins.
On aperçoit au loin, les rues illuminées
Les bruits lui parvenant de la ville lointaine
C’est ainsi qu’il regarde l’époque contemporaine
Qui elle, est parfumée, de gaz de cheminées.
Survolant la cité dans son manteau de brume
Las des amas de pierres détruisant les écumes
Revoit au fond de lui, le paysage d’antan.
Ce rêveur solitaire pourchassé par les hommes
Regarde son territoire, prochainement fantôme
Condamné à errer jusqu’à la fin des temps.
