Ce texte semble être une critique de l'impact de l'industrie moderne sur l'environnement, en particulier à Flémalle, en Belgique, dans les années 1956. L'auteur décrit les conséquences néfastes de l'industrialisation sur le paysage, la qualité de l'air et de l'eau. Il souligne également la transformation des anciens domaines et jardins en espaces utilitaires tels que des parkings, mettant en évidence la perte de la nature au profit de l'industrie. L'utilisation intensive de la terre, la pollution résultant de l'industrie lourde, et les conséquences sur la vie des habitants sont présentées comme des aspects négatifs de l'industrialisation, dénonçant ainsi ses effets destructeurs sur l'environnement.
