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Qui peut m'aider a faire mon exercice d’écriture (à faire sur une feuille à part) : à la manière de Baudelaire, imagine la vie de
quelqu’un que tu ne connais pas et que tu as croisé et/ou observé pendant ta journée. je dois le faire pour lundi 22 janvier 2024


Sagot :

Réponse:

Dans l'effervescence citadine, un être solitaire émerge, éclipsé par la foule pressée. Ses yeux portent le poids des jours vécus, reflets d'une énigme personnelle. Les rues tumultueuses, un théâtre où il se fond, observateur silencieux.

Il erre, évoquant un poème perdu dans les méandres du temps. Ses pas résonnent comme des vers en suspens, des rimes sans strophe. Les coins de rue deviennent des strophes abandonnées, des souvenirs ineffables qui se perdent dans l'obscurité des allées.

Son visage, un tableau de mélancolie, est marqué par des lignes narratives gravées par le vent des expériences. Des ombres dansent sur ses traits, des ombres qui racontent des histoires dont seul l'horizon détient le secret. Il porte la nostalgie comme une parure invisible, une cape que le monde ne perçoit qu'à travers des regards curieux.

Les cafés dévoilent son rituel solennel, un livre élimé entre les mains, une tasse de café qui embaume l'air. Il se perd dans les mots, cherchant l'écho d'une voix éteinte dans les pages jaunies. Les regards alentour ne parviennent pas à percer la bulle qui l'enveloppe, une bulle tissée de pensées labyrinthiques.

Dans le tumulte de la vie quotidienne, cet inconnu devient une icône éphémère, un personnage égaré dans les vers d'une ballade urbaine. Baudelaire aurait peut-être esquissé quelques vers mélancoliques pour décrire cette silhouette anonyme, ce poète des rues, porteur d'un mystère aussi profond que l'obscurité qui enveloppe la cité.

Réponse :

Dans l'effervescence citadine, un être solitaire émerge, éclipsé par la foule pressée. Ses yeux portent le poids des jours vécus, reflets d'une énigme personnelle. Les rues tumultueuses, un théâtre où il se fond, observateur silencieux.

Il erre, évoquant un poème perdu dans les méandres du temps. Ses pas résonnent comme des vers en suspens, des rimes sans strophe. Les coins de rue deviennent des strophes abandonnées, des souvenirs ineffables qui se perdent dans l'obscurité des allées.

Son visage, un tableau de mélancolie, est marqué par des lignes narratives gravées par le vent des expériences. Des ombres dansent sur ses traits, des ombres qui racontent des histoires dont seul l'horizon détient le secret. Il porte la nostalgie comme une parure invisible, une cape que le monde ne perçoit qu'à travers des regards curieux.

Les cafés dévoilent son rituel solennel, un livre élimé entre les mains, une tasse de café qui embaume l'air. Il se perd dans les mots, cherchant l'écho d'une voix éteinte dans les pages jaunies. Les regards alentour ne parviennent pas à percer la bulle qui l'enveloppe, une bulle tissée de pensées labyrinthiques.

Dans le tumulte de la vie quotidienne, cet inconnu devient une icône éphémère, un personnage égaré dans les vers d'une ballade urbaine. Baudelaire aurait peut-être esquissé quelques vers mélancoliques pour décrire cette silhouette anonyme, ce poète des rues, porteur d'un mystère aussi profond que l'obscurité qui enveloppe la cité.