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Réécris ce texte en remplaçant « il n’a fallu » par « il n’avait fallu » et en opérant toutes les modifications nécessaires.
Il n’a fallu que les huit ans qui nous séparent de cette époque pour que tout le pays resplendisse de santé et d’aisance. […] Les vieilles sources, alimentées par les pluies et les neiges que retiennent les forêts, se sont remises à couler. On en a canalisé les eaux. À côté de chaque ferme, dans des bosquets d’érables, les bassins des fontaines débordent sur des tapis de menthes fraîches. Les villages se sont reconstruits peu à peu. Une population venue des plaines où la terre se vend cher s’est fixée dans le pays, y apportant de la jeunesse, du mouvement, de l’esprit d’aventure. On rencontre dans les chemins des hommes et des femmes bien nourris […] ; plus de dix mille personnes doivent leur bonheur à Elzéard Bouffier.
Jean Giono, L’Homme qui plantait des arbres


Sagot :

Réponse:

Il n'avait fallu que les huit ans qui nous séparaient

de cette époque pour que tout le pays resplendît

de santé et d'aisance. […] Les vieilles sources,

alimentées par les pluies et les neiges que

retiennent les forêts, s'étaient remises à couler.

On en avait canalisé les eaux. À côté de

chaque ferme, dans des bosquets d'érables,

les bassins des fontaines débordaient sur des

tapis de menthes fraîches. Les villages s'étaient

reconstruits peu à peu. Une population venue

des plaines où la terre se vend cher s'était fixée

dans le pays, y apportant de la jeunesse, du

mouvement, de l'esprit d'aventure.On rencontrait

dans les chemins des hommes et des femmes

bien nourris […] ; plus de dix mille personnes

devaient leur bonheur à Elzéard Bouffier.

Jean Giono, L’Homme qui plantait des arbres

voilà

Nathea

Bonjour

Réécris ce texte en remplaçant « il n’a fallu » par « il n’avait fallu » et en opérant toutes les modifications nécessaires.

Il n'avait fallu que les huit ans qui nous séparent de cette époque pour que tout le pays resplendisse de santé et d’aisance. […] Les vieilles sources, alimentées par les pluies et les neiges que retiennent les forêts, s'étaient remises à couler. On en avait canalisées les eaux. À côté de chaque ferme, dans des bosquets d'érables, les bassins des fontaines débordaient sur des tapis de menthes fraîches. Les villages s'étaient reconstruits peu à peu. Une population venue des plaines où la terre se vend cher s'était fixée dans le pays, y apportant de la jeunesse, du mouvement, de l’esprit d’aventure. On rencontrait dans les chemins des hommes et des femmes bien nourris […] ; plus de dix mille personnes devaient leur bonheur à Elzéard Bouffier.

bonne soirée☺☺☺