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Sagot :
Réponse :
Bien sûr, voici un monologue de Don Gomes du CID en rimes suivies :
Dans l'ombre de la nuit, je médite en silence,
Mon esprit tourmenté, plein de tourments, s'élance.
Je suis Don Gomes, fier et vaillant chevalier,
Mais l'amour et l'honneur viennent me tourmenter.
Mon cœur est déchiré, partagé entre deux feux,
Entre l'honneur sacré et l'amour capricieux.
Chimène, ma fille, t'aimer est mon devoir,
Mais Rodrigue, mon sang, m'éveille un autre espoir.
Le choix est déchirant, entre l'amour et l'honneur,
Entre le devoir filial et le noble cœur.
Ma loyauté vacille, mon âme est déchirée,
Entre la fierté mortelle et la douceur aimée.
Dois-je condamner Rodrigue pour son amour ardent,
Ou le laisser libre, aimant passionnément ?
Chimène pleure en secret, son cœur est meurtri,
Et mon âme se perd dans l'obscurité de la nuit.
Ô destin cruel, pourquoi me mets-tu à l'épreuve ?
Entre l'amour et l'honneur, je lutte et je m'émeuve.
Don Rodrigue, mon fils, Chimène, ma fierté,
Je suis Don Gomes, tourmenté par la dualité.
Dans le silence de la nuit, je cherche une réponse,
Entre l'amour et l'honneur, je lutte et je renonce.
Que le ciel éclaire ma route et guide mes pas,
Car Don Gomes est perdu dans ce monde en trépas.
Je reste ici, seul, face à mes dilemmes,
Dans l'ombre de la nuit, je porte mes problèmes.
Que mon cœur trouve la paix, que mon âme s'apaise,
Car Don Gomes, chevalier, cherche la voie qui leaise.
Voilà, j'espère que ce monologue en rimes suivies capture l'essence tourmentée du personnage de Don Gomes du CID.
Réponse :Le Cid est une pièce de théâtre tragicomique écrite par Corneille dont la première représentation fut donnée le 7 janvier 1637, à Paris. La pièce a suscité de vives réactions à l'époque : en effet, elle ne suit pas les règles du théâtre classique. Unité de temps, de lieu et d'action ne sont pas respectés. Cette controverse a fait du Cid une oeuvre inclassable du XVIIe siècle : une pièce tragicomique dans laquelle on retrouve parfois des passages épiques et baroques. Le Cid, c'est l'histoire de quatre personnages principaux : Don Diègue et le comte de Gormas se sont mis d'accord pour que leurs enfants, Rodrigue et Chimène, se marient. Problème : juste avant l'union, Don Diègue se voit confier le poste de précepteur du prince par le roi. Cet élément va mettre en rogne le comte de Gormas qui aurait préféré voir ce poste lui être attribué. Les deux hommes s'affrontent en duel mais Don Diègue, vieux et affaibli, doit s'avouer vaincu. Il décide alors de se venger et demande à son fils, Rodrigue, de sauver son honneur. Mais Rodrigue est confronté à une difficulté : venger son père ne risquerait-il pas de compromettre son union avec sa bien-aimée Chimène ? Fidèle à son père, il entreprend toutefois d'affronter le comte de Gormas en duel et le tue. Chimène, dévastée par la nouvelle mais toujours éprise de Rodrigue tente de renier cet amour et demande au roi de faire arrêter et tuer l'assassin de son père. Mais lorsque le royaume se fait attaquer par les Maures, Rodrigue prouve, une nouvelle fois, son courage et sa bravoure. Malgré ses sentiments pour Rodrigue, Chimène souhaite toujours sa mort et demande au roi d'organiser un duel entre Don Sanche et Rodrigue : elle promet au vainqueur de l'épouser. Rodrigue gagne haut le main le duel et épousera Chimène
le monologue :
Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Oeuvre de tant de jours en un jour effacée ! Nouvelle dignité fatale à mon bonheur ! Précipice élevé d'où tombe mon honneur ! Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte, Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ? Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ; Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ; Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne. Et toi, de mes exploits glorieux instrument, Mais d'un corps tout de glace inutile ornement, Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense, M'as servi de parade, et non pas de défense, Va, quitte désormais le derniers des humains, Passe, pour me venger, en de meilleurs mains.
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