quelle titre pour ce poème en prose sur la fourmi ??

Petite être rigoureux, toujours sous l’autorité de la Reine. A l’avant, je suis armées de deux pinces pointues, mes chélicères servent à assesir la victime avant qu’arrive le coup fatal. Mes huit pattes me permettent de me déplacer avec célérité, quant à mon abdomen elle se termine par une longue queue qu’articulent six segments flexibles et qui s’achèvent par une pointe acérée. Comme une épine de ronce, une énorme épine jaune, fluide gluante de jus mortel ressemblant parfois même a des pots de miels. Moi insecte que vous n’apprécier guère, insecte qui recouvre les quatre coins de la terre sous l’appellation : bashikouai, nichellai, Streblognathus peetersi...

Tôt les matins je me reveille alors que le soleil se lève juste à l’horizon, une activité frénétique règne au sein de notre royaume, la reine placé au dessus du trône, placée en haute estimes est orné d’un élégant et éclatant cristal qui illumine les colonies ….. Nous regarder accomplir nos tâches, nous travaillons du matin au soir alignée comme des soldats servile. Un soir, alors que les rendements étaient excellents un gagna nos tribus, les vibrations sous terre capté par nos antennes étaient semblables à un tremblement de terre.
Et que vois-je ? Une météorite ? Ou bien une simple visite d’Apinae l’abeille. Un être fabuleux d’une taille colossale, un géant de deux pieds de haut venait parmi nous ! C’était une bête humaine… Le lendemain nous ne reconnaissions plus la tribu. Des secousses ont causé de gros dégâts qui ont duré environ une trentaine de secondes. Le premier bilan fait état de 350 morts, 1 116 blessés, 11 057 victimes évacuées, 734 fourmilières totalement détruites