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Le ciel est,par-dessus le toit,
Si bleu, si calme!
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.

La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.

Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.

Qu'as-tu fait, & toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?

A. Ce que voit le poète.
1. Quelle impression se dégage du monde extérieur ? Justifiez par un relevé.
2. Par quel procédé, tout au long du poème, Verlaine traduit-il le mouvement de la branche?
B. Ce que dit le poète
3. Quelles sont les deux parties du poème ?
4. D'après vous, à qui renvoie le pronom de la deuxième personne des vers 13 à 16? Comment est-
il mis en valeur ?
5. Qu'exprime Verlaine dans la dernière strophe ?


Sagot :

A. Ce que voit le poète.

1. L'impression qui se dégage du monde extérieur est celle d'une atmosphère paisible et calme. Cela est évoqué par l'utilisation des adjectifs "bleu" et "calme" pour décrire le ciel, ainsi que par les verbes "berce" et "chante" pour dépeindre le mouvement de l'arbre et le chant de l'oiseau. Ces termes évoquent une sensation de quiétude et de sérénité.

2. Tout au long du poème, Verlaine traduit le mouvement de la branche par l'utilisation du présent de l'indicatif et de verbes d'action tels que "berce" et "tinte". Ces verbes créent une impression de mouvement continu, reflétant le balancement doux de la branche au gré du vent et le son régulier de la cloche.

B. Ce que dit le poète

3. Les deux parties du poème sont :
- La première partie, qui décrit la scène paisible et calme observée par le poète.
- La deuxième partie, qui interroge le lecteur sur son propre vécu et son utilisation du temps.

4. Le pronom de la deuxième personne des vers 13 à 16 ("toi que voilà") renvoie au lecteur ou à toute personne qui se trouve dans une situation similaire à celle décrite dans le poème. Il est mis en valeur par son emploi direct, interpellant ainsi le lecteur et l'invitant à réfléchir sur ses propres actions et choix de vie.

5. Dans la dernière strophe, Verlaine exprime la simplicité et la tranquillité de la vie quotidienne, contrastant avec la tristesse et les regrets évoqués dans la question posée au sujet de la jeunesse perdue. Il souligne que malgré les tourments et les peines, la vie continue avec son rythme calme et régulier, représenté par la "paisible rumeur" qui émane de la ville.
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