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Sagot :
C'était l'été à Saint Malo , j'étais en vacances. Je flanais sur le port ne nez en l'air et les yeux fixés sur les grands voiliers accostés sur le port. Je ne voyais pas les passants autour de moi, je rêvais d'aventure en mer ...quand soudain, ce fut le choc.
Je rentrais de plein fouet dans une personne et cela me réveilla de mes songes.
Je me confondais alors en excuses et je demandais à la personne si je ne lui avais pas fait mal. C'était une femme d'une quarantaine d'année dont le visage ne me paraissait pas étranger et qui me regardait fixement en me disant :
- ce n'est rien jeune-fille, tu rêvais comme d'habitude?
- Oui, mais pourquoi dites-vous cela ?
- Certes j'ai vieilli mais moi je te reconnais tu esXXXXX
- C'est mon nom, mais vous vous êtes , vous êtes attendez vous êtes Madame XXXX ?
- Oui, c'est bien moi tu me remets maintenant ?
J'avais à ce moment m^me les larmes aux yeux et je luis tendis les bras. Elle me serra fort dans les siens et, d'un seul coup des souvenirs me submergeaient.
C'était ma première institutrice de maternelle, celle qui m'avait si souvent consolée lorsque mes parents me laissaient à l'école. Cette femme si douce, qui savait me parler et venait me chercher quand je m'isolais dans mon chagrin d'enfant.
Et puis ensemble nous firent un bon bout de chemin sur le quai du Port, je lui racontais mon parcours, elle me parlait de ses élèves. Que de sentiments de douceurs m'envahissaient à chacune de ses paroles. t nous nous sommes séparées en nous promettant de nous donner de nos nouvelles.
Je rentrais de plein fouet dans une personne et cela me réveilla de mes songes.
Je me confondais alors en excuses et je demandais à la personne si je ne lui avais pas fait mal. C'était une femme d'une quarantaine d'année dont le visage ne me paraissait pas étranger et qui me regardait fixement en me disant :
- ce n'est rien jeune-fille, tu rêvais comme d'habitude?
- Oui, mais pourquoi dites-vous cela ?
- Certes j'ai vieilli mais moi je te reconnais tu esXXXXX
- C'est mon nom, mais vous vous êtes , vous êtes attendez vous êtes Madame XXXX ?
- Oui, c'est bien moi tu me remets maintenant ?
J'avais à ce moment m^me les larmes aux yeux et je luis tendis les bras. Elle me serra fort dans les siens et, d'un seul coup des souvenirs me submergeaient.
C'était ma première institutrice de maternelle, celle qui m'avait si souvent consolée lorsque mes parents me laissaient à l'école. Cette femme si douce, qui savait me parler et venait me chercher quand je m'isolais dans mon chagrin d'enfant.
Et puis ensemble nous firent un bon bout de chemin sur le quai du Port, je lui racontais mon parcours, elle me parlait de ses élèves. Que de sentiments de douceurs m'envahissaient à chacune de ses paroles. t nous nous sommes séparées en nous promettant de nous donner de nos nouvelles.
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