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Zouass
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C’était un lundi matin. Un vieux pêcheur gisait inconscient sur la plage déserte. Ni le cri des mouettes, ni le bruit des vagues qui lui léchaient les pieds ne pouvaient l’arracher à son profond sommeil . Un garde-côte l’aperçut de son poste d’observation et avertit aussitôt ses collègues par radio . Deux heures plus tard , le vieil homme reprit ses esprits dans une chambre d’hôpital. Il était sauvé.
je rédige
Développe le récit en utilisant le retour en arrière pour raconter au lecteur ce qui est arrivé au personnage avant le scène de la plage . Commence le texte par une indication de genre : « Tout avait commencé deux jours plus tôt ... »


Sagot :

Tous avait commencé deux jours plus tôt. Le vieux pêcheur allait en mer. Il ne rapportait jamais grand chose, que quelque poisons maigrichons. Mais pourtant, il arrivait à vivre de son métier. Dimanche matin, le pêcheur sortit son bateau et sa canne. Il n'utilisait pas de gros filets et de grosse machines, oh non, il avait trop peur qu'un malheureux dauphin se prenne dans les mailles. Il était respectueux de l'environnement. Il était assis une une vieille chaise délabrée, sa canne à pêche entre ses mains fripées, le poste de radio grésillant un peu. Il attendait, qu'un saumon, un bar, un maquereau ou une sardine vienne s'accrocher à l'hameçon. Mais soudain, un orage éclata. Des éclairs zébraient le ciel. C'était le plus violent que le pêcheur n'est jamais connu. Alors, un énorme bar (le plus gros jamais vu) tira sur la corde. L'animateur de la radio s'égosillait "Rentrez chez vous ! Rentrez chez vous !" Mais le vieux pêcheur ne l'écoutait pas. Il fallait qu'il tire, qu'il tire pour déloger cet énorme poisson de l'eau. Il allait faire fortune, c'est sûr ! Mais soudain, une grosse vague l'engloutit complètement. Le pêcheur, inconscient se laissait emporter par les flots.
Lundi matin, il retrouva ses esprits dans une chambre d'hôpital. Il ne souvenait plus de ce qui s'était passé. Il remercia fortement le garde-côte, pour l'avoir sauvé.
Alors il se leva, s'en alla, et se dit que plus jamais il ne se laisserait avoir.

Voilà, j'espère que je t'ai aidé !