Dans "Matin Brun", le narrateur et Charlie réagissent de manière inquiète et réticente lorsque la loi sur l'obligation d'avoir uniquement des animaux brun est promulguée. Ils se sentent oppressés par cette restriction absurde et totalitaire qui restreint leur liberté de choix et d'expression. Le narrateur et Charlie ressentent une profonde préoccupation pour l'avenir de leur société, qui semble de plus en plus oppressante et contrôlée par un régime autoritaire.