Ce n'est vraiment qu'un squelette, il faudra rechercher bien davantage mais ce qui me vient en tête...
1) Le roman, miroir du lecteur
- évoquer le courant du réalisme
- penser à l'expérience de la vie qu'apporte le livre avec ses avantages (esquive de l'échec, ligne de conduite à tirer d'un roman) et ses limites (ne peut se suppléer à un vécu)
- réfléchir à l'identification aux personnages d'une œuvre et éventuellement, établir une analogie entre l'impact des personnages sur le cours de l'histoire et sur l'impression du lecteur (Est-il possible de changer après avoir lu ? Veut-on ressembler à certains héros de roman ?)
2) Le roman, laissez-passez de l'imagination
- d'infinies possibilités de raconter une histoire, le lecteur trouve dans ces potentialités multiples le moyen d'assouvir son besoin de rêver
- disserter autour de la thématique du voyage par le livre. Baudelaire : "Les plus beaux voyages sont ceux qu'on fait dans sa chambre" (sous-entendu "en lisant")
- le plaisir intellectuel de la surprise face au déroulement des événements, la survenue de l'inattendu, etc.
3) Le roman, carte d'identité de son auteur
- apprendre à découvrir une personne par ses écrits
- reflet de la volonté de l'auteur de dénoncer, d'interpeller, d'agir, etc.
- comment expliquer que certains romans soient beaucoup plus connus pour avoir fait partie d'une réalisation plus vaste de la part de l'auteur que pour eux-mêmes ? Quel sens donner à un rouage d'une immense horloge ? Exemple : La Comédie humaine, Les Rougon-Macquart.
