Ce matin d'hiver, le vent glacial qui s'était engloutit dans la maison me rappelé la température de mes main.
Ses mains froides, glaciales par l'oxygène artificielle qui traversé mon corps.
Oui, j'étais malade même si je refuser de l'admettre.
J'étais comme le vent ce matin là. Libre ,fragile et désinvolte.
Lui, il sifflait comme sifflent mes poumons
Lui, il allait et venait comme le fait mon cancer
Lui, il était aussi violent que ma détermination.
Sans réellement rechercher à comprendre pourquoi il était la ,il continuait a avancer
Lui, il était simplement comme moi.
