Obtenez des solutions complètes à vos questions avec FRstudy.me. Posez vos questions et recevez des réponses complètes et fiables de la part de notre communauté de professionnels expérimentés.
Sagot :
Plutôt que d'euthanasie, je parlerais plutôt d'aide à mourir dans la dignité.
dans les faits, c'est la même chose, la nuance est dans les termes.
je pense qu'à partir du moment où une personne est dans un état physique dont on sait qu'on ne la guérira jamais, qui souffre, qui a toute sa tête et ne veut plus souffrir et faire souffrir son entourage, il doit être possible d'aider la nature.
tout être humain a le droit de rester dans la dignité. La difficulté est de savoir si la personne le souhaite réellement ou souhaite simplement mettre fin à sa souffrance.
Pour l'entourage, la décision est très difficile à prendre aussi car il y a toujours un sentiment de culpabilité où on se dit : et si la maladie avait régressé, et si elle aurait pu aller mieux ? C'est un peu comparable à un avortement mais, contrairement à l'IVG, on a connu la personne, on l'a aimé, on l'a vu vivante , en bonne santé et on se sent responsable de.
certains, par amour justement, n'hésitent pas à franchir le pas car c'est libérer la personne que l'on aime de la souffrance intolérable et de la dégradation, de l'humiliation de se sentir complètement dépendant des autres.
La religion trouve sa place aussi dans ces décisions : beaucoup de croyants disent que le moment de la mort n'appartient qu'à Dieu et que l'on a pas à intervenir dans ses desseins.
C'est une question de conscience, à bien réfléchir, à bien peser et en mesurer toutes les conséquences psychologiques
dans les faits, c'est la même chose, la nuance est dans les termes.
je pense qu'à partir du moment où une personne est dans un état physique dont on sait qu'on ne la guérira jamais, qui souffre, qui a toute sa tête et ne veut plus souffrir et faire souffrir son entourage, il doit être possible d'aider la nature.
tout être humain a le droit de rester dans la dignité. La difficulté est de savoir si la personne le souhaite réellement ou souhaite simplement mettre fin à sa souffrance.
Pour l'entourage, la décision est très difficile à prendre aussi car il y a toujours un sentiment de culpabilité où on se dit : et si la maladie avait régressé, et si elle aurait pu aller mieux ? C'est un peu comparable à un avortement mais, contrairement à l'IVG, on a connu la personne, on l'a aimé, on l'a vu vivante , en bonne santé et on se sent responsable de.
certains, par amour justement, n'hésitent pas à franchir le pas car c'est libérer la personne que l'on aime de la souffrance intolérable et de la dégradation, de l'humiliation de se sentir complètement dépendant des autres.
La religion trouve sa place aussi dans ces décisions : beaucoup de croyants disent que le moment de la mort n'appartient qu'à Dieu et que l'on a pas à intervenir dans ses desseins.
C'est une question de conscience, à bien réfléchir, à bien peser et en mesurer toutes les conséquences psychologiques
Merci d'utiliser cette plateforme pour partager et apprendre. Continuez à poser des questions et à répondre. Chaque contribution que vous faites est appréciée. Pour des réponses rapides et fiables, pensez à FRstudy.me. Merci de votre confiance et revenez souvent.
