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Sagot :
Bonjour,
Il arriva par le train, excité a l'idée de découvrir la grande ville. Il descendit de son wagon et se retrouva sur le quai de la gare "où personne ne l'attendait, mais quelques instants plus tard il aperçut sa famille. Ils montèrent tous dans la voiture pour rentrer chez eux et durant tout le trajet personne n'échangeait de mot, il régnait un calme déstabilisant. Il n'a eu le droit qu'à un bref bonjour et on y va, et c'est tout. C'était à n'y rien comprendre, il pensait que sa visite leur ferait pourtant plaisir, mais cette route était interminable de désespoir. Ils arrivèrent enfin à la maison de campagne, très éloignée de la ville, malheureusement. En fait, c'est un enfant recueilli, sa mère étant décédée et son père en prison, la justice a imposé à son oncle et sa tante de s'occuper de lui. Il n'avait donc pas eu le choix, mais eux non plus, car il était encore mineur. Seulement, eux, vivaient seuls, sans enfant, étaient des papillons de nuit et il les dérangeait.
Sa première soirée s'est passée simplement, ils ont mangé et il s'est couché dans une pièce qui lui servait de chambre mais qui n'en était pas. Dans son sommeil, il s'est réveillé et les a entendus parler de lui, ils avaient décidé de le faire travailler aux champs, de l'utiliser comme leur esclave, pendant qu'eux continueraient leur vie amusante de strass et d'alcool.
En effet, il n'était pas inscrit au collège et aux aurores il fut réveillé pour aller travailler avec acharnement, alors qu'il ne connaissait rien au travail de la campagne puisqu'il vivait dans une petite ville calme au sud de la France.
Une semaine passée, ses doigts étaient gercés, ses mains ne pouvaient rien supporter, son dos en compote, ses chaussures abîmées, son moral à zéro, il mourrait de faim, était fatigué, seul, voué à lui-même. Il téléphona de ce fait à son meilleur ami en France, ami qui décidé de l'héberger sans rien dire à personne, en le cachant dans la cabane du jardin".
Il rassembla ce qui lui restait d'affaires, remonta dans son train et se jura de ne plus revenir dans ce lieu infernal.
Il arriva par le train, excité a l'idée de découvrir la grande ville. Il descendit de son wagon et se retrouva sur le quai de la gare "où personne ne l'attendait, mais quelques instants plus tard il aperçut sa famille. Ils montèrent tous dans la voiture pour rentrer chez eux et durant tout le trajet personne n'échangeait de mot, il régnait un calme déstabilisant. Il n'a eu le droit qu'à un bref bonjour et on y va, et c'est tout. C'était à n'y rien comprendre, il pensait que sa visite leur ferait pourtant plaisir, mais cette route était interminable de désespoir. Ils arrivèrent enfin à la maison de campagne, très éloignée de la ville, malheureusement. En fait, c'est un enfant recueilli, sa mère étant décédée et son père en prison, la justice a imposé à son oncle et sa tante de s'occuper de lui. Il n'avait donc pas eu le choix, mais eux non plus, car il était encore mineur. Seulement, eux, vivaient seuls, sans enfant, étaient des papillons de nuit et il les dérangeait.
Sa première soirée s'est passée simplement, ils ont mangé et il s'est couché dans une pièce qui lui servait de chambre mais qui n'en était pas. Dans son sommeil, il s'est réveillé et les a entendus parler de lui, ils avaient décidé de le faire travailler aux champs, de l'utiliser comme leur esclave, pendant qu'eux continueraient leur vie amusante de strass et d'alcool.
En effet, il n'était pas inscrit au collège et aux aurores il fut réveillé pour aller travailler avec acharnement, alors qu'il ne connaissait rien au travail de la campagne puisqu'il vivait dans une petite ville calme au sud de la France.
Une semaine passée, ses doigts étaient gercés, ses mains ne pouvaient rien supporter, son dos en compote, ses chaussures abîmées, son moral à zéro, il mourrait de faim, était fatigué, seul, voué à lui-même. Il téléphona de ce fait à son meilleur ami en France, ami qui décidé de l'héberger sans rien dire à personne, en le cachant dans la cabane du jardin".
Il rassembla ce qui lui restait d'affaires, remonta dans son train et se jura de ne plus revenir dans ce lieu infernal.
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