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Sagot :
INTRODUCTION
"J'en suis tout ému; je ne sais plus ou j'en suis", déclarons-nous lorsque l'émotion s'empare de nous. N'est-ce pas une anomalie pour l’homme que d'être troublé au point de ne plus pouvoir être maître de soi ? Et pourtant l'émotion se trouve en toute vie humaine. Or, ce qui est constant dans une nature vivante a ordinairement un rôle dans cette nature. Qu'en est-il ? L'émotion a.-t-elle un rôle dans la vie humaine ou est-elle une anomalie ?
I. L ‘EMOTION SEMBLE ETRE UNE ANOMALIE DANS LA VIE HUMAINE.
A. Le dérèglement qui apparait entre la marque est une anomalie.
N.B.- Il s’agit de l'émotion-choc, car l'émotion-sentiment n'a pas le même caractère et mérite plutôt le nom de sentiment fort que d'émotion à proprement parler. L'anomalie c'est ce qui ne fonctionne pas selon sa propre loi ce qui est anormal. Or, le dérèglement de l'Émotion apparait bien comme le trouble apporté au fonctionnement normal des puissances intéressées.
1/ Sur le plan de l'esprit.
Dans l'Emotion type émotion-choc par exemple la peur subite et qui saisit tout l’être
- L'esprit est annihilé rivé à une seule idée mais qui devient fixe et inféconde.
- Le raisonnement ne se fait plus normalement. L'image l'emporte et l'esprit est incapable de penser.
Si une réaction se produit, elle sera réaction fixe à l'idée fixe, une intention de fuite par exemple, voulue intensément. Mais le plus souvent même cette réaction et cette " intention" est seconde. Le premier temps était une annihilation totale sans réaction possible
2/ Sur le plan corporel
Le fonctionnement n’est plus normal. Tout est troublé sur tous les plans : troubles respiratoires -vaso-dilatateurs - rythme du cœur - troubles de la circulation - troubles secrétoires : sueurs, etc troubles du système nerveux réflexe – muscles relâchés ou fortement contractés, etc..
3/ Sur le plan de l'affectivité
Le fonctionnement de l'affectivité est déséquilibré....et déséquilibrant. Il y a poussée au paroxysme d’un "affect" aux dépens des autres (souffrance ou plaisir intense, désir ou répulsion) qui occupe toute la conscience sans_ pouvoir remplir un rôle normal (au moins au premier temps) qui serait de susciter la réflexion et l'action. Au second temps la concentration de l'affectivité produit l'unicité de la réaction, son désordre et son inadaptation.
4/ Sur le plan du comportement.
Se produisent les conséquences du dérèglement de fonctionnement de l’affectivité. Le passage bénéfique de l'affectivité à l'action par la raison est court-circuité ainsi la conduite est désadaptée par apport à ce qui serait souhaitable jusqu'au danger pour la vie. Tout ce défaut de fonctionnement de l'équipement mental de l'homme peut se résumer dans ces deux formules : "Chute du niveau psychologique "(Pierre JANET) « Déroute mentale" (Renée DEJEAN)
B. L'absence de finalité (au moins directe et immédiate) semble aussi une anomalie.
L'émotion elle-même n'est pas anomalie au sens où elle ne serait pas normale dans la vie humaine. On peut même dire, au contraire, qu'un être humain n'éprouverait pas d'émotion serait un être anormal. Or, les états normaux en biologie ont tous une finalité apparente et l'émotion semble ne servir à rien, puisqu'on ne lui voit pas de finalité. Nous avons vu que le seul résultat est trouble et désadaptation.
II.- ELLE SEMBLE BIEN AVOIR – UN ROLE (et pour certaines formes d’émotion c'est plus net)
MAIS NON LA FINALITE IMMEDIATE INVOQUEE : PAR PLUSIEURS AUTEURS
A. Elle n'a pas la finalité immédiate invoquée par certains auteurs.
1/ La thèse de Pierre JANET reprise par SARTRE.
L‘émotion serait une réaction active du sujet qui, par elle, supprime le problème qu'il ne serait pas capable de résoudre.
Mais Pierre JANET constatait le fait comme une conséquence de la chute de tension psychologique. SARTRE y voit une sorte d’intention du sujet qui recourt par là à une conduite magique : « l’origine de l’émotion c’est, dit-il, une dégradation spontanée et vécue de la conscience en face du monde ». Critique : Mais autre chose est le résultat, autre chose est l'intention Il n'y a pas de véritable intention puisque le trouble de l'esprit rend celui-ci incapable d’en avoir une … D'autre part, ordinairement l'esprit "sent" au moins vaguement que ce n’est pas la solution. Il ne cherche pas une solution : il ne peut pas en trouver une, c’est différent. Quant ’à la finalité (inscrite dans la constitution naturelle de l’homme) elle est ici à l'encontre de toute finalité biologique, qui pourvoit au bien de l'homme et ne conduit pas à perturber les fonctions vitales. Or l'absence de solution n’est pas pour le bien de l'intéressé.
"J'en suis tout ému; je ne sais plus ou j'en suis", déclarons-nous lorsque l'émotion s'empare de nous. N'est-ce pas une anomalie pour l’homme que d'être troublé au point de ne plus pouvoir être maître de soi ? Et pourtant l'émotion se trouve en toute vie humaine. Or, ce qui est constant dans une nature vivante a ordinairement un rôle dans cette nature. Qu'en est-il ? L'émotion a.-t-elle un rôle dans la vie humaine ou est-elle une anomalie ?
I. L ‘EMOTION SEMBLE ETRE UNE ANOMALIE DANS LA VIE HUMAINE.
A. Le dérèglement qui apparait entre la marque est une anomalie.
N.B.- Il s’agit de l'émotion-choc, car l'émotion-sentiment n'a pas le même caractère et mérite plutôt le nom de sentiment fort que d'émotion à proprement parler. L'anomalie c'est ce qui ne fonctionne pas selon sa propre loi ce qui est anormal. Or, le dérèglement de l'Émotion apparait bien comme le trouble apporté au fonctionnement normal des puissances intéressées.
1/ Sur le plan de l'esprit.
Dans l'Emotion type émotion-choc par exemple la peur subite et qui saisit tout l’être
- L'esprit est annihilé rivé à une seule idée mais qui devient fixe et inféconde.
- Le raisonnement ne se fait plus normalement. L'image l'emporte et l'esprit est incapable de penser.
Si une réaction se produit, elle sera réaction fixe à l'idée fixe, une intention de fuite par exemple, voulue intensément. Mais le plus souvent même cette réaction et cette " intention" est seconde. Le premier temps était une annihilation totale sans réaction possible
2/ Sur le plan corporel
Le fonctionnement n’est plus normal. Tout est troublé sur tous les plans : troubles respiratoires -vaso-dilatateurs - rythme du cœur - troubles de la circulation - troubles secrétoires : sueurs, etc troubles du système nerveux réflexe – muscles relâchés ou fortement contractés, etc..
3/ Sur le plan de l'affectivité
Le fonctionnement de l'affectivité est déséquilibré....et déséquilibrant. Il y a poussée au paroxysme d’un "affect" aux dépens des autres (souffrance ou plaisir intense, désir ou répulsion) qui occupe toute la conscience sans_ pouvoir remplir un rôle normal (au moins au premier temps) qui serait de susciter la réflexion et l'action. Au second temps la concentration de l'affectivité produit l'unicité de la réaction, son désordre et son inadaptation.
4/ Sur le plan du comportement.
Se produisent les conséquences du dérèglement de fonctionnement de l’affectivité. Le passage bénéfique de l'affectivité à l'action par la raison est court-circuité ainsi la conduite est désadaptée par apport à ce qui serait souhaitable jusqu'au danger pour la vie. Tout ce défaut de fonctionnement de l'équipement mental de l'homme peut se résumer dans ces deux formules : "Chute du niveau psychologique "(Pierre JANET) « Déroute mentale" (Renée DEJEAN)
B. L'absence de finalité (au moins directe et immédiate) semble aussi une anomalie.
L'émotion elle-même n'est pas anomalie au sens où elle ne serait pas normale dans la vie humaine. On peut même dire, au contraire, qu'un être humain n'éprouverait pas d'émotion serait un être anormal. Or, les états normaux en biologie ont tous une finalité apparente et l'émotion semble ne servir à rien, puisqu'on ne lui voit pas de finalité. Nous avons vu que le seul résultat est trouble et désadaptation.
II.- ELLE SEMBLE BIEN AVOIR – UN ROLE (et pour certaines formes d’émotion c'est plus net)
MAIS NON LA FINALITE IMMEDIATE INVOQUEE : PAR PLUSIEURS AUTEURS
A. Elle n'a pas la finalité immédiate invoquée par certains auteurs.
1/ La thèse de Pierre JANET reprise par SARTRE.
L‘émotion serait une réaction active du sujet qui, par elle, supprime le problème qu'il ne serait pas capable de résoudre.
Mais Pierre JANET constatait le fait comme une conséquence de la chute de tension psychologique. SARTRE y voit une sorte d’intention du sujet qui recourt par là à une conduite magique : « l’origine de l’émotion c’est, dit-il, une dégradation spontanée et vécue de la conscience en face du monde ». Critique : Mais autre chose est le résultat, autre chose est l'intention Il n'y a pas de véritable intention puisque le trouble de l'esprit rend celui-ci incapable d’en avoir une … D'autre part, ordinairement l'esprit "sent" au moins vaguement que ce n’est pas la solution. Il ne cherche pas une solution : il ne peut pas en trouver une, c’est différent. Quant ’à la finalité (inscrite dans la constitution naturelle de l’homme) elle est ici à l'encontre de toute finalité biologique, qui pourvoit au bien de l'homme et ne conduit pas à perturber les fonctions vitales. Or l'absence de solution n’est pas pour le bien de l'intéressé.
2/ Thèse de CANNON
L'émotion produit des secrétions internes (spécialement adrénaline) qui passent dans le sang et donnent l’énergie qui permet d'entreprendre, par exemple de fuir devant le danger. Critique: En réalité, la fuite est commencée avant que la sécrétion ait lieu. Et le surcroit d'énergie ne saurait être qu'un surcroit, une conséquence biologique qui montre une finalité de l’affectivité en général et non le fait de l'émotion en tant que telle.
3/ Thèse de Paul RICOEUR
Elle rejoint par certains côtés celle de DARWIN
-Pour DARWIN, l’émotion est un reste d’une conduite instinctive adaptée à la défense de l’individu mais qui a perdu une partie de son efficacité.
- Pour : RICOEUR, » l’involontaire de l’émotion » se comprend par rapport à un vouloir qu’il ébranle et qui à son tour ne meut que s’il est ému. Son rôle est d’ébranler l’action, d’émouvoir l’être. Il ne consiste pas d’abord à le jeter hors de soi, mais à e tirer de l’inertie par une spontanéité toujours périlleuse pour la maitrise de soi.. si la volonté doit de reprendre sur cette spontanéité, c’est pourtant à travers elle qu’elle meut son corps. » (Philosophie de la volonté, page 237).
En somme : finalité apparentée à l'instinct, motion de la volonté qui finit par assurer la maitrise de soi. ..
Argument : sans l’émotion-surprise, il n’y aurait pas cette activité spontanée, orientée, qui meut la volonté dans le sens choisi ensuite. Or l’émotion-choc est fille de l'émotion-surprise, elle en est le prolongement biologique. Elle en défigure (mais sans l'ôter) la signification fonctionnelle, donc la finalité, le rôle.
Critique : Il est vrai que l'affectivité fondamentale meut la volonté avant que celle-ci ne choisisse. C'est l’intérêt, surtout « l’affect » d’une certaine ampleur qui a ainsi un rôle biologique certain. Mais c'est là le « sentiment », que Pierre JANET appelle à juste titre "régulateur de l'action". L'émotion-choc participe à sa nature en tant qu'elle est de l’ordre de l'affectivité. Cependant, elle est trop différente dans ses effets pour pouvoir être identifiée aux sentiments. A l'opposé, elle dérègle au lieu de régler. Ce qu'il y a en elle de fond commun (avec le « sentiment") tend à chercher le moyen d'atteindre la finalité de l'affect mais ce qu'elle a de propre est autre, puisqu'il détruit ce que ce fond commun tendait à construire.
B.- Son rôle propre semble être, non dans l'instant même du choc, mais dans ce qui suit : avertir la personne humaine et provoquer sa réflexion sur ce qui importe à sa vie.
1/ L'émotion-choc est une expérience qui marque.
- qui ne peut pas ne pas provoquer la réflexion chez l'homme intelligent;
- s'il s'agit d'un danger, elle avertit du danger, et elle en fait rechercher l’occasion et les causes afin de l’éviter;
- s'il s'agit d'une hyperémotivité sans raison, elle met l'être humain en garde contre ce qui le trouble et l'entrave dans son action.
... Mais c’est un effet second, et non l’émotion par elle-même.
2 / Comment s'exerce ce rôle indirect?
- Dès que l’émotion-choc s’atténue en tant que choc (avec ses effets paralysants : à contre finalité). L'émotion-état qui la suit et en est la conséquence retrouve la finalité –fondamentale de la vie affective : elle stimule l'activité et la volonté ( cf. thèse de RICOEUR) en lui donnant un intérêt.
- Mais (remarque capitale) ce n’est pas l'émotion elle-même qui est active, c’est l’être ému avec ses aptitudes dont l'émotion a déclenché l’activité et qui continue de la susciter grâce à la permanence qui est l'émotion sentiment. Il n’est donc pas exact de dire : l'émotion es créatrice" etc.. Exemples types de cette activité indirectement due à l’émotion choc (par l’intermédiaire de l’émotion état qui demeure comme excitant de l’activité :
*L’émotion choc du « coup de foudre » : Au moment même, l'intéressé est-il capable de parler, d'exprimer son sentiment. Mais le sentiment qui nait est profond et c’est lui qui sera à l’origine d’une activité accrue, peut-être même d’une passion.
*L'émotion du beau: Au moment même, l'artiste tombe en arrêt devant le spectacle qui le ravit. Il trouvera dans le sentiment qui suit et demeure l'excitation de l’inspiration.
*L’émotion choc de la colère :Après avoir paralysé, elle est suivie d'un état émotif qui fera entreprendre la vengeance… etc…
CONCLUSION
De soi et sans finalité propre et même en ce sens anomalie puisqu'elle empêche le fonctionnement biologique normal, l'émotion au sens fort du mot trouve un rôle en un second temps, sans les traces qu'elle laisse,. Grâce à la réflexion de l’homme qu’elle stimule .et auquel elle fait tirer le bien du mal. Grâce surtout à l'Émotion-État (qui est plutôt un sentiment) laquelle est le grand ressort affectif de l'homme et son soutien dans les entreprises. C’est dans ce sens second qu’on peut parler de rôle de l'émotion et affirmer que l'homme est capable de grandes œuvres parce qu'il est capable d’émotion.
L'émotion produit des secrétions internes (spécialement adrénaline) qui passent dans le sang et donnent l’énergie qui permet d'entreprendre, par exemple de fuir devant le danger. Critique: En réalité, la fuite est commencée avant que la sécrétion ait lieu. Et le surcroit d'énergie ne saurait être qu'un surcroit, une conséquence biologique qui montre une finalité de l’affectivité en général et non le fait de l'émotion en tant que telle.
3/ Thèse de Paul RICOEUR
Elle rejoint par certains côtés celle de DARWIN
-Pour DARWIN, l’émotion est un reste d’une conduite instinctive adaptée à la défense de l’individu mais qui a perdu une partie de son efficacité.
- Pour : RICOEUR, » l’involontaire de l’émotion » se comprend par rapport à un vouloir qu’il ébranle et qui à son tour ne meut que s’il est ému. Son rôle est d’ébranler l’action, d’émouvoir l’être. Il ne consiste pas d’abord à le jeter hors de soi, mais à e tirer de l’inertie par une spontanéité toujours périlleuse pour la maitrise de soi.. si la volonté doit de reprendre sur cette spontanéité, c’est pourtant à travers elle qu’elle meut son corps. » (Philosophie de la volonté, page 237).
En somme : finalité apparentée à l'instinct, motion de la volonté qui finit par assurer la maitrise de soi. ..
Argument : sans l’émotion-surprise, il n’y aurait pas cette activité spontanée, orientée, qui meut la volonté dans le sens choisi ensuite. Or l’émotion-choc est fille de l'émotion-surprise, elle en est le prolongement biologique. Elle en défigure (mais sans l'ôter) la signification fonctionnelle, donc la finalité, le rôle.
Critique : Il est vrai que l'affectivité fondamentale meut la volonté avant que celle-ci ne choisisse. C'est l’intérêt, surtout « l’affect » d’une certaine ampleur qui a ainsi un rôle biologique certain. Mais c'est là le « sentiment », que Pierre JANET appelle à juste titre "régulateur de l'action". L'émotion-choc participe à sa nature en tant qu'elle est de l’ordre de l'affectivité. Cependant, elle est trop différente dans ses effets pour pouvoir être identifiée aux sentiments. A l'opposé, elle dérègle au lieu de régler. Ce qu'il y a en elle de fond commun (avec le « sentiment") tend à chercher le moyen d'atteindre la finalité de l'affect mais ce qu'elle a de propre est autre, puisqu'il détruit ce que ce fond commun tendait à construire.
B.- Son rôle propre semble être, non dans l'instant même du choc, mais dans ce qui suit : avertir la personne humaine et provoquer sa réflexion sur ce qui importe à sa vie.
1/ L'émotion-choc est une expérience qui marque.
- qui ne peut pas ne pas provoquer la réflexion chez l'homme intelligent;
- s'il s'agit d'un danger, elle avertit du danger, et elle en fait rechercher l’occasion et les causes afin de l’éviter;
- s'il s'agit d'une hyperémotivité sans raison, elle met l'être humain en garde contre ce qui le trouble et l'entrave dans son action.
... Mais c’est un effet second, et non l’émotion par elle-même.
2 / Comment s'exerce ce rôle indirect?
- Dès que l’émotion-choc s’atténue en tant que choc (avec ses effets paralysants : à contre finalité). L'émotion-état qui la suit et en est la conséquence retrouve la finalité –fondamentale de la vie affective : elle stimule l'activité et la volonté ( cf. thèse de RICOEUR) en lui donnant un intérêt.
- Mais (remarque capitale) ce n’est pas l'émotion elle-même qui est active, c’est l’être ému avec ses aptitudes dont l'émotion a déclenché l’activité et qui continue de la susciter grâce à la permanence qui est l'émotion sentiment. Il n’est donc pas exact de dire : l'émotion es créatrice" etc.. Exemples types de cette activité indirectement due à l’émotion choc (par l’intermédiaire de l’émotion état qui demeure comme excitant de l’activité :
*L’émotion choc du « coup de foudre » : Au moment même, l'intéressé est-il capable de parler, d'exprimer son sentiment. Mais le sentiment qui nait est profond et c’est lui qui sera à l’origine d’une activité accrue, peut-être même d’une passion.
*L'émotion du beau: Au moment même, l'artiste tombe en arrêt devant le spectacle qui le ravit. Il trouvera dans le sentiment qui suit et demeure l'excitation de l’inspiration.
*L’émotion choc de la colère :Après avoir paralysé, elle est suivie d'un état émotif qui fera entreprendre la vengeance… etc…
CONCLUSION
De soi et sans finalité propre et même en ce sens anomalie puisqu'elle empêche le fonctionnement biologique normal, l'émotion au sens fort du mot trouve un rôle en un second temps, sans les traces qu'elle laisse,. Grâce à la réflexion de l’homme qu’elle stimule .et auquel elle fait tirer le bien du mal. Grâce surtout à l'Émotion-État (qui est plutôt un sentiment) laquelle est le grand ressort affectif de l'homme et son soutien dans les entreprises. C’est dans ce sens second qu’on peut parler de rôle de l'émotion et affirmer que l'homme est capable de grandes œuvres parce qu'il est capable d’émotion.
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