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Sagot :
Je vais vous raconter l’histoire d’Yvain qui
partait un jour sur son beau cheval blanc à la rencontre d’une grande
dame, propriétaire d’un immense château.
Par une belle matinée ensoleillée, Yvain se rendait avec Diablo, son cheval blanc, en direction du château d’Amazarius qui se situait dans la forêt de Bretonne en Normandie.
A son arrivée, il fut reçu par Madame Camparlatus, une très jolie dame, toute belle vêtue, la propriétaire de ce magnifique château.
Elle se figea devant lui et lui dit :
« Ah, enfin, vous êtes arrivé mon cher Ami !»
Yvain lui répondit :
« Oui, mais pourquoi m’avez-vous donc fait venir ici ? »
Madame Camparlatus lui rétorqua :
« Très Cher Yvain, je vous ai appelé aujourd’hui parce que j’ai une mission de la plus grande importance à vous confier.
Dans la forêt de Bretonne, il y a un monstre et je vous demande de bien vouloir le tuer, car s'il n'est pas mort dans les quarante-huit heures qui suivent, il va faire des ravages.»
Afin de combattre ce monstre, la châtelaine lui donnât un pouvoir immortel ainsi qu’une épée.
Attention, c’était le monstre le plus abominable et terrifiant de tous les temps. Il s’appelait Zaxary.
Après une bonne nuit de sommeil au château, Yvain repartit à grands galops en direction de cette forêt avec en mémoire toutes les consignes données par Madame Camparlatus.
Plus il s’enfonçait dans la forêt de Bretonne, plus il entendait les cris immondes du monstre.
Quand tout à coup, il se trouva pratiquement nez à nez avec Zaxary !
Sa tête était aussi grosse qu’un dragon, sa gueule était tellement gigantesque et grande ouverte qu’on aurait dit qu’il était aussi vorace et prêt à l’attaque qu'un lion en colère. Il semblait aussi rapide et rusé qu’un renard. Sa barbichette pendante et puante lui donnait un air vraiment agressif tel qu'un loup. Son cou était bien plus long qu’une girafe, ce qui lui permettait d’attraper les oiseaux perchés tout en haut des arbres et ainsi les dévorer. Il aurait pu toucher le plafond d’une maison à étages tellement il était grand. Quand il déroulait sa langue, elle était si longue qu’on aurait pu la comparer à trois fois celle d’une vipère. Ses dents ressemblaient à celles d’un requin tant elles étaient pointues, prêtes à croquer et dévorer tous ce qui lui passait sous le nez. Il était aussi futé qu’un singe et savait attirer facilement ses proies vers lui.
Face à cet abominable monstre, Yvain pensait désormais à la mission que lui avait confiée Madame Camparlatus. Il prit alors son épée pour se mesurer à Zaxary puis il le frappa à plusieurs reprises en lui donnant des coups de pieds, de poings et d’épée. Il essaya de se défendre des griffes du monstre. Quand tout à coup, il se décala de la selle de son cheval avec une telle rapidité et une telle détermination qu’il tombât et se cogna contre un arbre. Yvain eut de la chance car il avait son heaume sur la tête qui le protégea. Zaxary ne semblait pas avoir mal face aux attaques d’Yvain et continuait à s’acharner sur lui. Il devenait rudement agressif. Le combat était si intense que jamais Yvain n’avait vu un monstre aussi hideux et aussi combattif. Jamais il n’avait ressenti une telle frayeur vis-à-vis de qui que ce soit. Yvain remonta sur son cheval courageusement et continua à frapper Zaxary à l’aide de son écu et de l’éperon. Le monstre semblait vouloir le dévorer, il était terriblement violent et extrêmement méchant et réussit à lui fendre et lui arracher un bout de son avant bras mais vu que Yvain avait en lui le pouvoir immortel que lui avait donné Madame Camparlatus, il put se relever avec détermination et lui lança le pommeau de son épee sur la tête. La détermination de son geste était tellement puissante que là, Yvain réussit enfin à faire tomber Zaxary. La puissance de celui-ci était si intense que Zaxary s’éclata violemment sur un arbre puis s’effondra par terre et l’arbre lui tomba dessus et le décapita.
Yvain construisit donc un brancard de fortune pour ramener au château le corps décomposé de Zaxary. C’était pour lui un grand soulagement d’avoir réussi sa mission de chevalier.
En arrivant, Madame Camparlatus lui dit :
« Jamais je n’ai eu un chevalier aussi courageux et déterminé que vous. J’ai l’immense joie de vous nommer Chevalier Personnel de mon château. ».
Yvain fut honoré de cette nomination.
Par une belle matinée ensoleillée, Yvain se rendait avec Diablo, son cheval blanc, en direction du château d’Amazarius qui se situait dans la forêt de Bretonne en Normandie.
A son arrivée, il fut reçu par Madame Camparlatus, une très jolie dame, toute belle vêtue, la propriétaire de ce magnifique château.
Elle se figea devant lui et lui dit :
« Ah, enfin, vous êtes arrivé mon cher Ami !»
Yvain lui répondit :
« Oui, mais pourquoi m’avez-vous donc fait venir ici ? »
Madame Camparlatus lui rétorqua :
« Très Cher Yvain, je vous ai appelé aujourd’hui parce que j’ai une mission de la plus grande importance à vous confier.
Dans la forêt de Bretonne, il y a un monstre et je vous demande de bien vouloir le tuer, car s'il n'est pas mort dans les quarante-huit heures qui suivent, il va faire des ravages.»
Afin de combattre ce monstre, la châtelaine lui donnât un pouvoir immortel ainsi qu’une épée.
Attention, c’était le monstre le plus abominable et terrifiant de tous les temps. Il s’appelait Zaxary.
Après une bonne nuit de sommeil au château, Yvain repartit à grands galops en direction de cette forêt avec en mémoire toutes les consignes données par Madame Camparlatus.
Plus il s’enfonçait dans la forêt de Bretonne, plus il entendait les cris immondes du monstre.
Quand tout à coup, il se trouva pratiquement nez à nez avec Zaxary !
Sa tête était aussi grosse qu’un dragon, sa gueule était tellement gigantesque et grande ouverte qu’on aurait dit qu’il était aussi vorace et prêt à l’attaque qu'un lion en colère. Il semblait aussi rapide et rusé qu’un renard. Sa barbichette pendante et puante lui donnait un air vraiment agressif tel qu'un loup. Son cou était bien plus long qu’une girafe, ce qui lui permettait d’attraper les oiseaux perchés tout en haut des arbres et ainsi les dévorer. Il aurait pu toucher le plafond d’une maison à étages tellement il était grand. Quand il déroulait sa langue, elle était si longue qu’on aurait pu la comparer à trois fois celle d’une vipère. Ses dents ressemblaient à celles d’un requin tant elles étaient pointues, prêtes à croquer et dévorer tous ce qui lui passait sous le nez. Il était aussi futé qu’un singe et savait attirer facilement ses proies vers lui.
Face à cet abominable monstre, Yvain pensait désormais à la mission que lui avait confiée Madame Camparlatus. Il prit alors son épée pour se mesurer à Zaxary puis il le frappa à plusieurs reprises en lui donnant des coups de pieds, de poings et d’épée. Il essaya de se défendre des griffes du monstre. Quand tout à coup, il se décala de la selle de son cheval avec une telle rapidité et une telle détermination qu’il tombât et se cogna contre un arbre. Yvain eut de la chance car il avait son heaume sur la tête qui le protégea. Zaxary ne semblait pas avoir mal face aux attaques d’Yvain et continuait à s’acharner sur lui. Il devenait rudement agressif. Le combat était si intense que jamais Yvain n’avait vu un monstre aussi hideux et aussi combattif. Jamais il n’avait ressenti une telle frayeur vis-à-vis de qui que ce soit. Yvain remonta sur son cheval courageusement et continua à frapper Zaxary à l’aide de son écu et de l’éperon. Le monstre semblait vouloir le dévorer, il était terriblement violent et extrêmement méchant et réussit à lui fendre et lui arracher un bout de son avant bras mais vu que Yvain avait en lui le pouvoir immortel que lui avait donné Madame Camparlatus, il put se relever avec détermination et lui lança le pommeau de son épee sur la tête. La détermination de son geste était tellement puissante que là, Yvain réussit enfin à faire tomber Zaxary. La puissance de celui-ci était si intense que Zaxary s’éclata violemment sur un arbre puis s’effondra par terre et l’arbre lui tomba dessus et le décapita.
Yvain construisit donc un brancard de fortune pour ramener au château le corps décomposé de Zaxary. C’était pour lui un grand soulagement d’avoir réussi sa mission de chevalier.
En arrivant, Madame Camparlatus lui dit :
« Jamais je n’ai eu un chevalier aussi courageux et déterminé que vous. J’ai l’immense joie de vous nommer Chevalier Personnel de mon château. ».
Yvain fut honoré de cette nomination.
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