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Sagot :
Je m’appelle
Lucie je suis née le 5 novembre 2000,je viens de fêter mes 15 ans. J'habite
dans la petite ville d’Agen qui se trouve dans le sud-ouest de la France. Cette année je passe en
seconde. Je mesure 1m65 pour 45 kilos,je suis brune,j'ai un teint
mat,des yeux marrons et des cheveux longs m'arrivant jusqu'aux bas du dos.
Il faut savoir que je suis une catastrophe ambulante et que je n'ai pas
de chance.
Pour ce qui est de mes amies,nous sommes un groupe de six. Il y a :Laura,Anna,Marine,Carla,Sophie et moi. Je n'ai aucune préférence,je les adore toutes, elles sont vraiment très gentilles. On peut tout se dire, on se fait vraiment confiance.
Il y a aussi Tony ,mon meilleur ami "garçon", il est mon confident, je le connaîs depuis la maternelle, nous avons de très bon délires ensemble .
Après les présentation faite ,je vais vous raconter mon histoire :
En cinquième j'ai appris que ma mère Nathalie avait une tumeur au cerveau et qu'il ne lui restait qu'un an à vivre. J’ai été anéantie par cette triste nouvelle. Comme mon père et moi savions que le temps était compter,mon père organisa un voyage à Hawaï. Ma mère avait toujours rêver d'y aller .
Elle était vraiment heureuse de pouvoir aller sur cette île avant de mourir et aussi de passer du temps avec son mari Paul et ses deux filles Marion, ma petite sœur de 4 ans et moi.
Ma mère m'avais demander de faire mon année comme si elle n'était pas malade. Donc je suis restée forte pour elle et j'ai travaillé dur. L’année était bientôt terminer, il me restait à peine un mois. Mon père venait me chercher tous les jours à la sortie du collège. Ce mardi là je ne le vit pas. Je me suis dit qu'il devait y avoir des bouchons,cela faisait maintenant une heure que je l'attendais et je commençais à m’inquiéter.
Enfin il arriva et je le vis en larme au volant de la voiture. Tout de suite je compris que ma mère était morte. Je couru vers lui en criant et en pleurant. Je le pris dans mes bras et le serrais très fort. J’avais raison cette foutu maladie l'avais emporté. Elle s'était battue un an et j'étais très fiere de ma mère ,je ne l’oublierais jamais.
Marion ma petite sœur ne comprit pas pourquoi tout le monde pleurait. Nous avions toujours fait attention à ne pas parler devant elle de la maladie de ma mère pour la protéger. Du coup la seule chose que mon père et moi avions trouver à lui dire était que sa maman étais partie dans le ciel et qu’elle nous regardait et veillerait toujours sur nous. C’est un peu ce que tous le monde dit aux petits à la mort d'un proche.
C'est très bien, j'ai corrigé deux bricoles.
Tu peux continuer.
Pour ce qui est de mes amies,nous sommes un groupe de six. Il y a :Laura,Anna,Marine,Carla,Sophie et moi. Je n'ai aucune préférence,je les adore toutes, elles sont vraiment très gentilles. On peut tout se dire, on se fait vraiment confiance.
Il y a aussi Tony ,mon meilleur ami "garçon", il est mon confident, je le connaîs depuis la maternelle, nous avons de très bon délires ensemble .
Après les présentation faite ,je vais vous raconter mon histoire :
En cinquième j'ai appris que ma mère Nathalie avait une tumeur au cerveau et qu'il ne lui restait qu'un an à vivre. J’ai été anéantie par cette triste nouvelle. Comme mon père et moi savions que le temps était compter,mon père organisa un voyage à Hawaï. Ma mère avait toujours rêver d'y aller .
Elle était vraiment heureuse de pouvoir aller sur cette île avant de mourir et aussi de passer du temps avec son mari Paul et ses deux filles Marion, ma petite sœur de 4 ans et moi.
Ma mère m'avais demander de faire mon année comme si elle n'était pas malade. Donc je suis restée forte pour elle et j'ai travaillé dur. L’année était bientôt terminer, il me restait à peine un mois. Mon père venait me chercher tous les jours à la sortie du collège. Ce mardi là je ne le vit pas. Je me suis dit qu'il devait y avoir des bouchons,cela faisait maintenant une heure que je l'attendais et je commençais à m’inquiéter.
Enfin il arriva et je le vis en larme au volant de la voiture. Tout de suite je compris que ma mère était morte. Je couru vers lui en criant et en pleurant. Je le pris dans mes bras et le serrais très fort. J’avais raison cette foutu maladie l'avais emporté. Elle s'était battue un an et j'étais très fiere de ma mère ,je ne l’oublierais jamais.
Marion ma petite sœur ne comprit pas pourquoi tout le monde pleurait. Nous avions toujours fait attention à ne pas parler devant elle de la maladie de ma mère pour la protéger. Du coup la seule chose que mon père et moi avions trouver à lui dire était que sa maman étais partie dans le ciel et qu’elle nous regardait et veillerait toujours sur nous. C’est un peu ce que tous le monde dit aux petits à la mort d'un proche.
C'est très bien, j'ai corrigé deux bricoles.
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