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Sagot :
Kay : Pourquoi diable n'ai je pas pu retirer cette épée de cette pierre ? Que m'arrive-t-il ? Les cieux ont-ils décidé de s'acharner sur ma personne ? Qu'ai-je donc fait pour mériter une telle avanie?
Arthur : Pourquoi un tel courroux ?
Kay : Ne vois tu pas mon frère que je suis maudit ? J'ai toujours, au plus profond de moi-même, souhaité détenir ta toute puissance. Regarde moi enfin ! mes lèvres incarantes de colère ne te parlent donc pas. Je suis furieux. Et j'abhorre le scénario que le destin a créé pour moi.
Arthur : Cher ami, je suis navré pour toi.
Kay : Je me fiche de ta pitié. Scélérat. J'ai dû me souiller et vomir sur ma dignité. La voilà maculée de ma honte à jamais. ô fatalité !
Arthur : Ecoute moi. Je comprends ton désarroi et il est immense. Mais procédons socratiquement veux-tu? Tu souhaites conserver ta dignité.
Kay : Certes
Arthur : Tu blâmes la fatalité, le destin si tu préfères.
Kay : assurément.
Arthur : En tant qu'être fièr, tu estimes que l'on doit te considérer pour ce qui est de ton ressort. Ce qui est le produit de ta volonté.
Kay : Oui.
Arthur : Mais ne penses tu pas que le destin est quelque chose qui annihile toute volonté. On n'agit pas contre le destin. On ne s'impose pas au destin, le destin s'impose à nous. C'est pourquoi nous ne devons avoir du chagrin, des regrets que pour ce qui dépend de nous.
Kay : Je comprends tout. Ce que tu dis résoudrait le malheur de bien des hommes.
C'est ainsi que Kay comprit que pour son infinie sagesse, son demi-frère, son frère méritait d'être roi. Aussi prêtons nous tous allégeance à la puissance de la sagesse.
Cordialement. Franck, le philosophe.
Arthur : Pourquoi un tel courroux ?
Kay : Ne vois tu pas mon frère que je suis maudit ? J'ai toujours, au plus profond de moi-même, souhaité détenir ta toute puissance. Regarde moi enfin ! mes lèvres incarantes de colère ne te parlent donc pas. Je suis furieux. Et j'abhorre le scénario que le destin a créé pour moi.
Arthur : Cher ami, je suis navré pour toi.
Kay : Je me fiche de ta pitié. Scélérat. J'ai dû me souiller et vomir sur ma dignité. La voilà maculée de ma honte à jamais. ô fatalité !
Arthur : Ecoute moi. Je comprends ton désarroi et il est immense. Mais procédons socratiquement veux-tu? Tu souhaites conserver ta dignité.
Kay : Certes
Arthur : Tu blâmes la fatalité, le destin si tu préfères.
Kay : assurément.
Arthur : En tant qu'être fièr, tu estimes que l'on doit te considérer pour ce qui est de ton ressort. Ce qui est le produit de ta volonté.
Kay : Oui.
Arthur : Mais ne penses tu pas que le destin est quelque chose qui annihile toute volonté. On n'agit pas contre le destin. On ne s'impose pas au destin, le destin s'impose à nous. C'est pourquoi nous ne devons avoir du chagrin, des regrets que pour ce qui dépend de nous.
Kay : Je comprends tout. Ce que tu dis résoudrait le malheur de bien des hommes.
C'est ainsi que Kay comprit que pour son infinie sagesse, son demi-frère, son frère méritait d'être roi. Aussi prêtons nous tous allégeance à la puissance de la sagesse.
Cordialement. Franck, le philosophe.
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