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Sagot :
J'ai décidé de
prendre mon courage à deux mains et de monter sur une dune. Je vis
qu'il y avait une petite oasis non loin d'ici. Je suis donc retourné
dans l'avion pour récupérer mon sac car je savais que son contenu
pourrait toujours me servir. Je me dirigeai ensuite vers l'oasis et y
remplis ma gourde.
J'entrepris de me rediriger vers une dune qui était plus loin que la précédente. Mais auparavant je pensais à relever ma position avec la boussole qu'il y avait dans mon sac, pour situer le Nord au cas où j'aurais besoin de retourner près de l'avion.
Le haut de la dune était difficile à atteindre. Mes pieds s'enfonçaient un peu plus dans le sable à chaque pas.. Une fois arrivé je vis au loin une sorte de village. Fier de ma trouvaille je pris la route.
Une fois arrivé j'étais assez mécontent de ce que je percevais comme étant un village.. Ce n'était qu'un campement abandonné. Étant donné que la nuit commençait à tomber, je décidais de dormir ici.
Le lendemain matin en me réveillant, la chaleur était pesante... La nuit avait été très dure... Il faisait froid et le sol était plus dur que je ne l'aurais imaginé. Je bus un peu d'eau pour ne pas me déshydrater non plus, et je repris la route.
J'espérais fortement trouver un village non loin de là.
Après de très longues heures de marche je vis des cactus. Je n'avais plus d'eau dans ma gourde et je savais que les cactus en contenaient. J'en ai donc choisi un assez dodu à ma convenance puis j'ai tranché sa partie supérieure pour récolter la pulpe et la mettre en bouche. Le goût n'était pas des meilleurs... J'ai ensuite recraché la pulpe car on m'avait dit une fois qu'il fallait juste la sucer. Je m'assis quelques minutes pour me reposer. J'avais des courbatures épouvantables...
Après quelques minutes, je vis au loin un chameau et un homme avec un tissu sur la tête. Je voulais crier de toutes mes forces mais aucun son ne sortit. J'entrepris donc d'avancer, ou plutôt de ramper jusqu'à l'homme. Mais quelques pas avant d'arriver à lui ma vue s'est brouillée et je me suis allongé sur le sable.
J'étais parfaitement conscient mais je n'avais plus de force. Je sentis de l'eau couler dans ma bouche. Je rouvris les yeux, reprenant conscience petit à petit.
L'homme en question était une femme, elle avait enlevé son voile qui lui cachait le visage. Elle m'a ensuite aidé à me lever et à monter sur son chameau. Je ne pensais pas m'en sortir de la sorte mais quelqu'un m'avais bel et bien secouru.
J'entrepris de me rediriger vers une dune qui était plus loin que la précédente. Mais auparavant je pensais à relever ma position avec la boussole qu'il y avait dans mon sac, pour situer le Nord au cas où j'aurais besoin de retourner près de l'avion.
Le haut de la dune était difficile à atteindre. Mes pieds s'enfonçaient un peu plus dans le sable à chaque pas.. Une fois arrivé je vis au loin une sorte de village. Fier de ma trouvaille je pris la route.
Une fois arrivé j'étais assez mécontent de ce que je percevais comme étant un village.. Ce n'était qu'un campement abandonné. Étant donné que la nuit commençait à tomber, je décidais de dormir ici.
Le lendemain matin en me réveillant, la chaleur était pesante... La nuit avait été très dure... Il faisait froid et le sol était plus dur que je ne l'aurais imaginé. Je bus un peu d'eau pour ne pas me déshydrater non plus, et je repris la route.
J'espérais fortement trouver un village non loin de là.
Après de très longues heures de marche je vis des cactus. Je n'avais plus d'eau dans ma gourde et je savais que les cactus en contenaient. J'en ai donc choisi un assez dodu à ma convenance puis j'ai tranché sa partie supérieure pour récolter la pulpe et la mettre en bouche. Le goût n'était pas des meilleurs... J'ai ensuite recraché la pulpe car on m'avait dit une fois qu'il fallait juste la sucer. Je m'assis quelques minutes pour me reposer. J'avais des courbatures épouvantables...
Après quelques minutes, je vis au loin un chameau et un homme avec un tissu sur la tête. Je voulais crier de toutes mes forces mais aucun son ne sortit. J'entrepris donc d'avancer, ou plutôt de ramper jusqu'à l'homme. Mais quelques pas avant d'arriver à lui ma vue s'est brouillée et je me suis allongé sur le sable.
J'étais parfaitement conscient mais je n'avais plus de force. Je sentis de l'eau couler dans ma bouche. Je rouvris les yeux, reprenant conscience petit à petit.
L'homme en question était une femme, elle avait enlevé son voile qui lui cachait le visage. Elle m'a ensuite aidé à me lever et à monter sur son chameau. Je ne pensais pas m'en sortir de la sorte mais quelqu'un m'avais bel et bien secouru.
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