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Sagot :
Tant de meurtres dans un petit village de campagne, ce n'est pas ce qu'il y a de plus normal. Je me rappelle celui sur lequel a enquêté mon père, quand j'avais 15 ans. Un certain Lapointe, qui avait tué son frère, je crois. Cette fois, c'est sa femme qui est morte. Alors qu'il vient juste de sortir de prison. Comme par hasard..La femme avait été retrouvée morte par la femme de chambre. Je m'étais rendu immédiatement sur place et je me trouvais désormais devant un corps baignant dans l'eau froide, un sèche-cheveux à moitié débranché se trouvait sur le bord de la baignoire, la main de la victime le tenant encore. La salle de bain était mouillée, partout par terre. La pauvre victime avait les yeux ouverts et le corps presque blanchâtre après le temps passé depuis sa mortAlors nous entendîmes du bruit en direction du salon. Ma fille, qui m'avait accompagné sur la scène de crime alluma la lumière et il me sembla voir une ombre se déplaçant dans le salon. Je criai " Qui est la ? " Il n'y eut aucune réponse.
Nous nous approchions prudemment de la zone suspecte. Nous entendîmes un bruit de pas puis une porte claquer. Je me précipitai vers la porte d'entrée, mais c'était trop tard. Celui qui était désormais mon suspect numéro 1 s'était enfui. Je me tournai vers ma fille, qui me retourna un regard éloquent. Oui, nous n'avions pas assuré sur ce coup là. Le lendemain, je me rendis de nouveau sur la scène de crime afin de recueillir des indices. Le sèche-cheveux ne comporterai sans doutes que les traces d'ADN de la victime, s'il y avait un meurtrier, il aurait mis des gants, à moins qu'il ne soit totalement idiot. - Euh, papa ? m'interpella ma fille - Oui ? - C'est un gant. Ce serait normal qu'il appartienne aux habitants de cette maison.. -Hum, tu as sans doutes raison.
Nous nous approchions prudemment de la zone suspecte. Nous entendîmes un bruit de pas puis une porte claquer. Je me précipitai vers la porte d'entrée, mais c'était trop tard. Celui qui était désormais mon suspect numéro 1 s'était enfui. Je me tournai vers ma fille, qui me retourna un regard éloquent. Oui, nous n'avions pas assuré sur ce coup là. Le lendemain, je me rendis de nouveau sur la scène de crime afin de recueillir des indices. Le sèche-cheveux ne comporterai sans doutes que les traces d'ADN de la victime, s'il y avait un meurtrier, il aurait mis des gants, à moins qu'il ne soit totalement idiot. - Euh, papa ? m'interpella ma fille - Oui ? - C'est un gant. Ce serait normal qu'il appartienne aux habitants de cette maison.. -Hum, tu as sans doutes raison.
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