👤

Obtenez des solutions complètes à vos questions avec FRstudy.me. Posez n'importe quelle question et recevez des réponses rapides et précises de la part de notre communauté d'experts expérimentés.

j'ai eu 8/20 a ma rédaction et le prof veut que je la refasse pour me re noté mais je n'est aucune inspiration sur le sujet . qui peut m'aider ? il faut du discourt direct ( possibilité de faire mourir le narrateur )( c'est le narrateur qui raconte l'histoire )
il faut que sa soit assez long ( recto- verso d'une feuille )

il faut commencer par :
Le narrateur est arrive en France. Il se trouve devant l'entrée du métro et s'apprête a s'y engouffrer .
merci


Jai Eu 820 A Ma Rédaction Et Le Prof Veut Que Je La Refasse Pour Me Re Noté Mais Je Nest Aucune Inspiration Sur Le Sujet Qui Peut Maider Il Faut Du Discourt Dir class=
Jai Eu 820 A Ma Rédaction Et Le Prof Veut Que Je La Refasse Pour Me Re Noté Mais Je Nest Aucune Inspiration Sur Le Sujet Qui Peut Maider Il Faut Du Discourt Dir class=

Sagot :

le narrateur est arrive en france.il se trouve devant l'entree du métro et s'appreta a s'y en gouffre. venant  d'un pays étrangère  il ne s'avais que ce que ont lui avait indique soudain il vu un enfant qui pleure l'enfant avais perdu sa maman il lui demanda pour quoi pleure tu mon petit l'enfant lui répondu je perdu ma maman. il lui dit attends j'avais t'aidée en Sachant ps qu'il rester 2 mn   pour que le train arrive il chercha la maman du petit  or en lui
 avais dit de ne pas être en retard ont lui avais dit  si il arrive a destination qu'il reste la jusque a l'arriver du train mais il fut ps se que ont lui avais dit il chercha la mère de l'enfant. mais comme il était etranger il ne comprenne rien a l'indication que l'enfant lui avait indiquer il chercha il n'avais plus dans la tête que il avais un train apprendre il chercha,chercha encore, et encore mais il ne trouvère pas la mère du petit quand il commença a désespéré soudain il entendu la mère de l'enfant crié l'enfant reconnu la voix de sa maman  l'enfant retrouva sa mère et lui remercia la mère aussi soudain quelque chose lui sauta par la tête mon train il couru a la vitesse de l'éclaire mais le train était deja partie il cria pour quoi je aidée cette enfant par le saint pourquoi cette histoire ma t-il arriver.il regretta dire tout les mots qui lui venait a l'esprit.puis il voulu demande a des passagère mais il avait oublier sa destination il lui manquer deux lettres quand il demande ont lui répondais ce nom la n'exister pas soudain un sont familier lui retentis il avait faim tous sont corps était lourd comme un éléphant il entendait plus rien seulement son ventre qui crié famine.quand il commencée a désespéré l'enfant qu'il avais aidée la vu l'enfant cria maman ce la personne qui ma aidée sa le reconnu elle vu que il avait faim et lui donna a manger  quand il discuté avec la mère du petit il lui dit j'ais suis étranger je suis venu pour continuer mes étude mais je perdu mon train il lui donna le nom de sa destination bien que il avait oublier deux lettre la mère reconnu le nom de la ville coïncidences se la ou la mère habite la maman lui proposa de faire route ensemble et de lui proposé de le berger  pendant quelque jour il continuer leur discute.jusque que ont dit le train aller arrive dans deux minute la mère sa perçoit que son fils avais encore disparu il cherchas l'enfant puis ont la vu dans le raille le train avais que quelque minute arriver a destination soudain le narrateur sauta il prenant l'enfant le jeta or de railles du train puis le train arriva écrasa le sauver puis il mourut,il c demanda je me suis ft tué par le train qui aller me ramener est c que se était sa ma destiner de mourir comme cela mais je regrette rien je  sauver une vie et je rencontre deux personne qui auront pu me être chère puis il ferma les yeux et dit merci.                   






 
J'étais arrivé en France. Je me trouvais maintenant devant l'entrée du métro, le cœur battant, et je m'apprêtais à m'y engouffrer. Soudain, un doute me vint. Je redéployai mon plan pour me repérer. Je devais me rendre dans la partie Est du métro, mais j'ignorai où je me trouvais exactement. De plus, le froid de la France me faisait prendre conscience que j'aurais dû écouter les conseils que l'on m'avait donné et me vêtir plus chaudement...  

 Je regardai longuement autour de moi, avant d'apercevoir un panneau qui montrait le métro dans son ensemble. Je mis plusieurs minutes avant de me repérer mais je finis par trouver mon emplacement.  
 - Besoins d'aide ? m'interpella voix derrière moi. Je me retournai et découvris une très belle jeune femme, les cheveux bruns ondulés et les yeux bleus, qui tenait une pile de cahiers dans son bras droit, sans doute car ils ne rentraient pas tous dans son sac à main. Je lui adressai un regard soulagé avant de lui répondre: 

- Oui, si vous pouviez m'indiquer où se trouve la partie Est du métro, je dois aller dans mon nouvel établissement et je ne sais pas où il se trouve...
 -Pas de problème! C'est l'Ecole Saint Antoine ? 
-Oui, c'est ça; 
- Eh bien, c'est aussi là que je vais, je vais vous accompagner. 
-Merci beaucoup! répondis -je avec gratitude. 

Je la suivis dans les escaliers, tout en me disant avec agacement que ce métro était un vrai labyrinthe et que ce serait bien compliqué pour les jours suivants de s'y retrouver...Nous tournâmes de nombreuses fois. Je tentai de retenir le trajet, peine perdue. Au bout de deux minutes, j'abandonnai. Je me débrouillerai pour rentrer...

Ma sauveteuse s'arrêta finalement devant une porte de métro et m'annonça avec un grand sourire:
 - C'est là. Il faut prendre le métro jusqu'à la gare St Lazare, d'accord ?  
J'acquiesçai, me rappelant ce que l'avais dit le directeur de l'école.  Bon, je n'avais rien compris à ce moment là et j'aurais peut-être dû faire plus attention et lui avouer que je ne comprenais pas, mais c'était trop tard désormais.

 Vingt minutes plus tard, nous descendions à la gare St Lazare, comme prévu.  De là, nous prîmes ensembles le train pour Argenteuil. Dans notre wagon, il y avait une petite fille toute seule, qui avait l'air perdu.

 -Tu es toute seule ? Lui demandai-je avec inquiétude.  
-Je... J'ai perdu ma maman...   

Sur ce, la pauvre petite éclata en sanglots, ce qui arracha ma compagne de voyage à son livre. Elle se précipita aussitôt auprès d'elle, et avec cet instinct maternel qu'ont la plupart des jeunes filles, et le pris dans ses bras. Elle lui posa doucement les questions que l'on pose dans ces circonstances.

Après quelques minutes, nous savions que sa maman était montée aussi dans le train, et que pendant qu'elle faisait la sieste, la petite s'était levée pour découvrir le train et s'était perdue.  Nous décidâmes d'aller voir le contrôleur et de lui confier la fillette. Cinq  minutes plus tard, une voix résonnait dans tout le train :
"Votre attention, s'il vous plait, Marie, cinq ans, s'est perdue dans le train. Nous demandons à sa maman de venir la chercher dans le premier wagon. Merci. " 

 Ce fut avec joie que nous vîmes une maman soulagée courir vers nous et serrer sa fille dans ses bras avant de nous remercier abondement.  C'est donc avec une grande fierté que nous descendîmes du train à Argenteuil et que nous nous dirigeâmes vers la sortie.  

Dès que je fus sorti, la lumière du jour m'éblouit quelques instants, puis mes yeux s'accoutumèrent à la luminosité et la jeune femme (qui s'appelait Lucie, je le savais désormais) me conduisit deux rues plus loin où je découvris un immense bâtiment, bien plus grands que ceux que j'avais fréquentés auparavant.  De nombreux étudiants se précipitaient de tous côtés. Lucie rejoignit des amis et me laissa seul devant mon nouvel établissement.  

 Ah, si Marie voyait ça! J'aurais tant aimé vivre cette expérience avec elle. Enfin, c'était ainsi et je ne devais pas le regretter maintenant. C'était un nouveau commencement pour ma vie et je n'allai pas m'appesantir sur quelque chose qui aurait pu arriver, mais qui n'arrivera pas.   

Je montai les marches quatre à quatre, pressé de découvrir ce qui serait le lieu où je passerai le plus de temps durant les trois prochaines années. Réalisant soudainement de l'heure qui l'était, je pressai le pas dans les couloirs, à la recherche de ma classe. Décidément, pensai-je, l'orientation n'était pas mon fort...