je vais essayer, mais je ne promets rien, voici mon texte:
Il avait plu toute la journée. J'avais envie de sortir .Il était 6heures du soir et la nuit commençait à tomber ;Nous étions en hiver,et en Bretagne sur l'ile de Groix, quoi de plus normal que la pluie ! je pris mon imperméable et décidais d'aller sur la falaise regarder la mer se jeter contre les rochers. Après avoir marché 15mm , je me trouvais sur la falaise à la "pointe des chats". Au loin j'aperçus un homme, un géant ou plutôt il semblait l'être dans ce paysage sans arbre. Il se tenait tout près du vide.
Je le vis retirer ses chaussures, son manteau, et regarder vers le bas les rochers.
"Non ! pensais-je pas ça! Il ne faut pas! Il ne doit pas faire cela!" Je m'approchais.
Le vent soufflait." Bonsoir" dis-je à cet homme. Il se retourna .Ses yeux merveilleusement bleus étaient rouges d'avoir pleuré. Ses lèvres tremblaient. Son visage n'était que désolation, douleur, torture. Je mordais mes lèvres , je devais trouver les mots. Il ne devait pas commettre l'irréparable. Vite ! que dire ! j'entendais battre mon cœur, le sien ne devait pas s'arrêter. Cet homme souffrait, Il était blessé ,anéanti . Son chagrin, sa détresse, son désespoir se lisaient sur ses traits. Je l'entendis gémir. Comme la pluie , sa souffrance avait envahi son corps. "Je ne sers plus à rien" me dit -il . Je lui répondis. "Ne dites plus jamais cela, un jour futur, par votre présence ou par un mot ou par un regard par un sourire, vous pourrez sauver la vie d'une personne, si vous décidez de rejoindre Poséidon qui sauvera la personne qui vous attend si vous n'êtes pas là pour elle? Chacun de nous a été placé sur terre pour accomplir des bienfaits vous devez les accomplir. Pensez -y . Il faut rentrer maintenant il est tard."
Je le quittais sans me retourner, j'avais peur ,j'étais paniquée, terrorisée. Avais-je dit les bons mots? Je le saurai rapidement l'île est si petite.
VoilĂ pour moi, Ă plus.
