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Sagot :
Dans mon enfance, je pensais que la mort n’existait pas. Ma mère m’a apporté sa lumière à propos de cela, en me disant que tout le monde va mourir, même ceux qui font le plus de bien possible. Elle en faisait l'éloge. Je n’y croyais toujours pas parce que je n’avais pas envie de la perdre, elle ou ma grand-mère ou encore mon père. Elle m’a tout expliqué plusieurs fois et elle a ajouté : « C’est comme ça mon enfant, on ne peut rien changer à cela, ce qui doit être fait sera fait ». Je refusais toujours d'y adhérer. Je pensais qu’il y avait un moyen pour éviter une chose si horrible. Quelque mois plus tard, j’ai appris que ma grand-mère était atteinte d’un cancer du sein, une maladie incurable pour les pauvres, et qu’elle devait se faire opérer. Malheureusement, elle n'en avait pas les moyens. Je commençais à m’inquiéter parce que je ne pouvais pas regarder ma grand-mère mourir sans agir. Je réfléchissais sur le problème de manière exhaustive (à revoir, cela ne veut rien dire ici), il y avait beaucoup d’idées dans ma tête pour stopper, non pas seulement ma grand-mère de la mort mais éviter la mort sur la planète entière. Malgré toutes mes envie, je n'ai pas pu éviter sa mort, et donc la mort en général. En effet, elle est morte deux mois plus tard.
En grandissant, j’ai eu une autre façon de concevoir les choses. Je pensais que la vie était complice en quelque sorte. Je me suis mis à réfléchir sur la source du problème. J’ai fini par voir la vie sous un nouvel angle: elle est plus simple que ce que vous croyez. Elle est le contraire de la mort, tout simplement.
La mort, quant à elle, est un terme inéluctable, c’est ainsi l’inverse de ce dernier (cela ne veut rien dire). Vous pouvez vous poser cette question : pourquoi d’une part, y a-t-il la vie, qui n’est pas obligatoire, et d’autre part, la mort que l’on ne peut éviter ? Il est clair qu’il y a là une interdépendance. Si je ne suis pas né alors je ne peux pas mourir et si je peux mourir, c’est parce que je suis vivant. La mort dépend de la vie, et non le contraire. Il faut d’abord accepter la mort après la vie, pour qu’il y ait la vie (à revoir). Je ne veux pas parler du Paradis et de l’Enfer, mais plutôt de ces questions qui me préoccupent : où étions-nous avant notre vie ? Où allons-nous après notre mort? Après mûres réflexions, j’ai vu que la deuxième interrogation me paraissait plus facile à résoudre que la première, parce que je pouvais répondre ainsi : Nous retournons où nous étions auparavant.
Et toute suite en prenant un exemple qui va répondre à la première (à reprendre cela ne veut rien dire) : si nous étions poussière, nous retournons à la poussière. Voilà.
En grandissant, j’ai eu une autre façon de concevoir les choses. Je pensais que la vie était complice en quelque sorte. Je me suis mis à réfléchir sur la source du problème. J’ai fini par voir la vie sous un nouvel angle: elle est plus simple que ce que vous croyez. Elle est le contraire de la mort, tout simplement.
La mort, quant à elle, est un terme inéluctable, c’est ainsi l’inverse de ce dernier (cela ne veut rien dire). Vous pouvez vous poser cette question : pourquoi d’une part, y a-t-il la vie, qui n’est pas obligatoire, et d’autre part, la mort que l’on ne peut éviter ? Il est clair qu’il y a là une interdépendance. Si je ne suis pas né alors je ne peux pas mourir et si je peux mourir, c’est parce que je suis vivant. La mort dépend de la vie, et non le contraire. Il faut d’abord accepter la mort après la vie, pour qu’il y ait la vie (à revoir). Je ne veux pas parler du Paradis et de l’Enfer, mais plutôt de ces questions qui me préoccupent : où étions-nous avant notre vie ? Où allons-nous après notre mort? Après mûres réflexions, j’ai vu que la deuxième interrogation me paraissait plus facile à résoudre que la première, parce que je pouvais répondre ainsi : Nous retournons où nous étions auparavant.
Et toute suite en prenant un exemple qui va répondre à la première (à reprendre cela ne veut rien dire) : si nous étions poussière, nous retournons à la poussière. Voilà.
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