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Bonjour, Je viens de passer un contrôle de l'expression écrite de 15 min. Et je voudrais que vous me le corrigiez, Merci d'accepter :
Sujet : Imaginez une suite à l'histoire de V. Hugo 'dernier jour d'un condamné'
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Ah! les misérables ! il me semble qu'on monte l'escalier. Cette terrible, hideuse, effroyable guillotine commence à s'afficher sur l'écran de mes yeux petite à petite en montant l'escalier, Il me semble que je monte une montagne. Mes yeux se sont fixés sur le gros couteau triangulé qui était encore mouillé de sang frais, J'ai compris qu'on venait d’exécuter un autre condamné avant moi, mais cela ne semble pas suffire à la foule toujours assoiffé de sang. Me voilà je suis près de l'échafaud, je ressens son odorat, l'odeur de la mort, le silence règne tout l'endroit et mes oriels n'entend plus rien, mes genoux ne peuvent plus supporter mon corps mes dents claquaient. Je ne résiste plus, J’étais résigné au bourreau vigoureux qui attendait impatiemment le moment ou il va faire voler ma tête au dessus de la foule. Il mit ma tête dans le collier de bois précieusement comme une femme qui met son précieux bijou de diamant. Au moment où le bourreau s’apprêtait à libérer le couperet, un homme plein de sueur surgit, il porte une feuille avec ses deux mains en le montrant au ciel, il cria : Arrêtez ! Arrêtez, Le Rois Charles a donné la grâce à cet homme!
Je n'arrivais pas à croire, Mon cœur sauta de joie, c'est comme si on m'a fais sortir de l'enfer au paradis, le bourreau essuya la salive qui sortait de sa bouche car il a bien attendait longuement ce moment précieux à lui. J'ai remercie le rois et je suis rentré à la maison.


Sagot :

bonsoir

Ah! les misérables ! il me semblait qu'on monta l'escalier. Cette terrible, hideuse, effroyable guillotine commencait à s'afficher sur l'écran de mes yeux petit à petit en montant l'escalier, Il me semblait que je montais une montagne. Mes yeux s'étaient fixés sur le gros couteau triangulaire qui était encore mouillé de sang frais, J'ai compris qu'on venait d’exécuter un autre condamné avant moi, mais cela ne semblait pas suffire à la foule toujours assoiffée de sang. Me voilà j,étais  près de l'échafaud, je pouvais ressentir son odeur , l'odeur de la mort, le silence régnait ; mes oreilles n'entendaient plus rien, mes genoux ne pouvaient plus supporter mon corps, mes dents claquaient. ( attention soit tu utilises le présent soit l'imparfait mais tu ne peux pas mélanger les deux ) Je ne résistais plus. J’étais résigné au bourreau vigoureux qui attendait impatiemment le moment il fera voler ma tête au dessus de la foule.

 Il mit ma tête dans le collier de bois précieusement telle une femme qui orne son cou d'un  précieux bijou de diamant. Au moment où le bourreau s’apprêtait à libérer le couperet, un homme plein de sueur surgit, il portait une feuille avec ses deux mains en le montrant au ciel, il cria : Arrêtez ! Arrêtez, Le Rois Charles a donné la grâce à cet homme!
Je n'arrivais pas à croire, Mon cœur sauta de joie, c'est comme si j'avais quitté l'enfer pour le  paradis .Le bourreau essuya la salive qui sortait de sa bouche car il avait bien attendu longuement ce moment précieux . J'ai remercié le roi et je suis rentré à la maison.

J'ai changé le temps de ton texte parce que tu ne peux pas mélanger du passé et du présent. alors j'ai essayé de te le mettre à l'imparfait et au passé simple.

En souhaitant t'avoir aidé.