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Salut tout le monde ;) J'ai une rédaction à rendre lundi et je voulais savoir si c'est bien ce que j'ai écris. La consigne est : Dans un texte organisé en paragraphes d'un minimum de 30 lignes, vous raconterez un souvenir marquant de votre enfance. Vous utiliserez le vocabulaire du souvenir et des émotions. Comme dans l'autobiographie, vous jouerez sur la double énonciation : le souvenir raconté au passé par le narrateur enfant, et les commentaires au présent du narrateur "adulte"
Voici ce que j'ai fais :
J'avais sept ans, j'habitais encore en Belgique et nous étions au moi de juillet. Il faisait très beau, même chaud, car j'étais en tee-shirt et en short. Tous les mardis et vendredis, j'allais au centre aéré car ma mère travaillait.
Là-bas, je retrouvais mes copines, nous avions deux animateurs, Jules et Marion. Ils nous faisaient faire plein d'activités aussi bien manuelles que sportives.
Ce matin, tout le monde était plus actif que d'habitude ; il fallait faire du rangement et mettre au point la petite fête que nous avions préparée pour clôturer la fin du centre.
Le midi, pour déjeuner, nous devions effectuer dix minutes de marche pour aller à la cantine. Celle-ci se trouvait près de la mairie. Alors, nous partions avec nos animateurs. Il fallait faire très attention car nous devions traverser la route principale ; l'été il y a beaucoup de circulation. Après le repas, nous étions libres de faire des jeux de société, de se reposer ou bien de faire des jeux d'extérieur pendant trente minutes avant de retourner au centre.
Moi, j'étais avec mes deux amies, Sarah et Agathe. On jouait au loup. Agathe venait de me toucher, c'était donc à mon tour d'être le loup. Comme Sarah n'était pas très rapide, je me mis à la courser, mais soudain, sur une partie de béton remplie des graviers et de poussière, je glissai !
Catastrophe, la directrice était à mes côtés lorsque je suis tombée. Elle entendit un bruit "crack". Elle me regarda et dit :
-"J'appelle ta mère, direction les urgences !"
Mon genou gauche était en sang mais j'avais très mal à mon coude car j'étais tombée dessus.
Lorsque nous sommes arrivés à l'hôpital, Martine, la directrice, fit ma fiche de renseignement auprès de la secrétaire en attendant ma mère. Quelques minutes après, ma mère prit le relais. Une infirmière nous fit entrer et m'allongea sur un brancard. Elle ne s'occupa pas de mon coude en premier. Elle prit de l'eau oxygénée et aspergea mon genou en sang. Elle essuya grossièrement avec des compresses et répéta l'opération deux ou trois fois pour stopper le saignement. J'avais terriblement mal ! Ensuite, elle prit une pince à épiler en plastique vert (je m'en souviens encore) et commença à gratter dans la plaie pour retirer tous les gravillons de mon genou estropié. C'était horrible, je regardais ma mère pour qu'elle lui dise d'arrêter mais elle ne pouvait pas car il fallait que cette plaie soit nettoyée. Alors, elle me donna son foulard et me dit :
-"Mords dedans de toutes tes forces, tu auras moins mal."
Je n'en pouvais plus, je voulais que ça s'arrête et vite car cela commençait à me monter au cœur, je ne me sentais pas bien.
Me voyant au plus mal, ma mère dit à l'infirmière d'arrêter de s'occuper de mon genou et de regarder plus plutôt mon coude. Ouf ! Il était temps.
Je suis allée passer une radio et il s'est avéré que j'avais une fracture. Le médecin me dit alors que j'allais avoir un plâtre. Une aide-soignante assista le médecin. Il m'a plâtré de la main jusqu'au dessus du coude. Mon bras gauche était totalement immobilisé. Il me donna une écharpe de bras pour que ma main soit légèrement en hauteur.
Heureusement que, dans mon malheur, je n'ai pas eu le bras plâtré avant que l'infirmière ne me nettoie la plaie du genou car je crois qu'elle aurait reçu un coup de plâtre sur la tête tant elle m'avait fait souffrir. Et pendant un mois, une infirmière venait tous les matins me faire des soins. Cela m'a servie de leçon car maintenant, je regarde comment est le sol avant de me mettre à courir et, s'il est recouvert de graviers, je me méfie !
C'est bien. Les fautes: moi(mois),plein(pleins d'activités),préparée(préparées),des graviers(faute d'expression: de graviers),plus plutôt(plutôt).Ton texte est très bien écrit.Bravo
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