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Bonjour tout le monde !
Svp . Vous pouvez m'aider à faire le résumé de zimeo svp. C'est pour demain . Merci d'avance


Sagot :

Bonsoir,voici la réponse:
Histoire des voyages de Scarmentado écrite par lui-même est un conte philosophique de Voltaire écrit vers1753 et paru en 1756 dans la Suite des mélanges publiée par les frères Cramer.Histoire des voyages de Scarmentado, avait, apparemment, été écrit par Scarmentado mais en réalité ce n'est que le pseudonyme de Voltaire. Comme la plupart de ses contes, l'Histoire des voyages de Scarmentado est un récit inspiré des déboires du printemps 1754. On suit Scarmentado, personnage principale, à travers son voyage dans le monde : en Italie, en Angleterre, en France, en Espagne, en Turquie, en Perse, en Chine, en Inde. Aucuns de tous ces pays ne sont dispensés de critique. Que ce soit la politique ou la religion, Scarmentado est déçu ou horrifié. Par exemple en Chine il prend la fuite pour éviter la mort du jeune français qui avait critiqué l'Empereur des Indes et celui du Maroc. En Afrique il assiste à la critique de l'attitude des blancs vis-à-vis des noirs. Si les noirs sont les plus forts, ils transforment les blancs en esclaves. Il s'en va vers de nouvelles contrées qu'il nous fait découvrir au travers d'anecdotes drôles ou graves. Voltaire nous présente un portrait peu flatteur du monde de son époque. Entre les souverains tyranniques et les conflits entre religions ennemies, la mauvaise interprétation et la moquerie mal-placée, Scarmentado subit les conséquences de son impertinence et de sa naïveté. Il se rendra compte de la quiétude d'une vie simple, et de l'absurdité des fautes dites graves à la cour de France. Scarmentado est heureux car il a put comparer ces mœurs et se satisfaire de son existence. 
II/ Saint- Lambert Jean-François, était un chevalier puis un marquis de 1716-1803. Il a écrit Ziméo en 1769. L'histoire conté à lieu en Jamaïque, où à lieu une révolte : celle des esclaves noirs. Il s'agit de l'histoire de Ziméo. C'est une utopie jamaïcaine, où de bons maîtres sont aimés de leurs esclaves qu'ils traitent, certes, avec ce que nous appellerions aujourd'hui du paternalisme, et qui est désormais politiquement incorrect, mais qui est, à l'époque, un moindre mal. Le résultat est que lorsque des nègres marron se révoltèrent, les esclaves plaidèrent pour leurs maîtres. On fait alors le récit d'une histoire d'amours contrariées par un enlèvement dans un bateau portugais, où les captifs furent contraints au cannibalisme. On ne peut s'empêcher de penser à la nouvelle "Tamango", de Prosper Mérimée.L'auteur parle de lui, en nous racontant qu'il avait voyagé jusqu'en Jamaïque, où il avait rendu visite à un ami, blanc, qui possédait des esclaves. Paul Wilmlouth, son ami donc, ne traitait pas ses esclaves comme de vulgaire morceau de viande, et c'est bien pour cela que le narrateur était ami avec celui-ci. En effet, ses esclaves travaillaient peu, n'étaient pas salis psychologiquement ni physiquement par des tortures quelconque affligées aux esclaves des autre foyers. Non, ceux-là vivaient avec de quoi cultiver, de quoi fonder une famille. Leur seule tâche était de travailler deux fois par semaine pour leur maître ce qui, comparer aux autres esclaves n'était rien. Car ces autres esclaves, eux, souffraient, manquaient de nourriture, de respect, et étaient traité comme des moins que rien ce qui fit annoncer une révolte. Ziméo, ou John, car c'est ainsi qu'il s'appelait vraiment, était devenu le chef de cette révolte, et fit abattre tous les maîtres (ou presque) qui infligeaient de mauvais traitements aux esclaves, et brûlait leur maison. C'est alors que l'ami de Wilmouth eu l'idée de faire savoir à Ziméo les bienfaits de son ami envers les esclaves, afin qu'il réalise que tous les blancs nétait pas comme ça. III/ Madame de La Carlière est un conte de Denis Diderot publié dans l'édition Naigeon des oeuvres de Diderot en 1798.L'histoire de Mme de La Carlière est rédigée à un moment, où libéré de la lourde tâche de l'Encyclopédie, il s'adonne au plaisir d'écrire des contes. Lors d'une promenade par temps orageux, deux causeurs parlent du chevalier Desroches qui est d'après eux une des plus malheureuses victimes des caprices du sort et des jugements inconsidérés des hommes. L'un des promeneurs raconte son histoire, d'abord ecclésiastique, puis magistrat et à chaque fois soumis aux critiques de sa famille puis à celles de l'opinion publique. Desroches finit par acheter une compagnie pour faire la guerre. Il échappe aux blessures ou à la mort, mais, a la jambe cassée par un cheval. Il se réfugie chez Mme de La Carlière. Madame de la Carlière est une jeune veuve. Elle est courtisée par le libertin, Monsieur Desroches, qu'elle accepte d'épouser. La veille de leur mariage Mme de La Carlière conjure son mari, dont la réputation de galant n'est plus à faire de renoncer à cet engagement s'il n'est pas certain de rester fidèle.