caligram, tu aura cas l'ecrire en forme je peux pas fair sur l'ordi.
Délicatement ils se posent et s'enlacent,
Pour n'être séparé que par le soleil du printemps.
Il s'en vont vers les montagnes qui se fondent dans le ciel nuageux,
Leur tein éclatant abime mes yeux .
En bas dans la vallée les feuilles gelé aux lisieres des foret temoigne de la nuit froide qu'on a passé .
Et dans la plaine plus aucune fleur elles se sont terré sous terres pour laissé place aux flocons qui s'enlacent.
Le froid invisible qui vous englobe tout entier, vous empeche presque de respirer.
Les oiseaux affamé viennent aux fenêtres
et bientot dans le ciel un pluie glaçé metamorphose le paysage.
les pas y restent gravé et la foret n'a plus aucun secret.
Les arbres a nus laisse entrevoir le ciel, pour mieux voir l'arriver du pere noel .
sa te va ?
