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Sagot :
bonjour,
Claude fit une espèce de chos equi étonna de la part d'un homme aussi sérieux. Au moment où le directeur, ramené à heure fixe par sa tournée habituelle, passa devant le métier de Claude, Claude leva les yeux et le regarda fixement, puis lui adressa d'un ton plein d'angoisse et de colère : Et Albin ? Le directeur fit semblant de ne pas entendre e ts'éloigna en haussant les épaules.
Claude et Albin, libres dans leur grenier, travaillaient tt le jour, gagnaient leur pain de quatre livres et le mangeait. Claude et Albin, en prison, travaillaient tt le jour et recevaient régulièrement pour leu rpeine une livre et demie de pain et quatre onces de viande. Leur ration est inexorable. Claude et Albin avaient donc habituellement faim dans la prison de Clairvaux Ils avaient faim, et c'était tout. Ils n'en parlaient pas. C'étaient leurs natures ainsi.
Un jour, Claude et Albin venaient de dévorer leur maigre pitance et s'étaient remis à leurs métiers, croyant tromper la faim par le travail . ..........Deux jeunes femmes, pâles, blanches, faibles vinrent se placer près d'eux. Elles tenaient à leurs mains leurs rations, auxquelles elles n'avaient pas encore touché, et un couteau. Elles restaient là, debout, près de Claude et Albin, ayant l'air de vouloir leu rparler et de ne pas oser Ces deux jeunes femmes et leur pain, leur viande, importunaient Claude et Albin.
Claude fit une espèce de chos equi étonna de la part d'un homme aussi sérieux. Au moment où le directeur, ramené à heure fixe par sa tournée habituelle, passa devant le métier de Claude, Claude leva les yeux et le regarda fixement, puis lui adressa d'un ton plein d'angoisse et de colère : Et Albin ? Le directeur fit semblant de ne pas entendre e ts'éloigna en haussant les épaules.
Claude et Albin, libres dans leur grenier, travaillaient tt le jour, gagnaient leur pain de quatre livres et le mangeait. Claude et Albin, en prison, travaillaient tt le jour et recevaient régulièrement pour leu rpeine une livre et demie de pain et quatre onces de viande. Leur ration est inexorable. Claude et Albin avaient donc habituellement faim dans la prison de Clairvaux Ils avaient faim, et c'était tout. Ils n'en parlaient pas. C'étaient leurs natures ainsi.
Un jour, Claude et Albin venaient de dévorer leur maigre pitance et s'étaient remis à leurs métiers, croyant tromper la faim par le travail . ..........Deux jeunes femmes, pâles, blanches, faibles vinrent se placer près d'eux. Elles tenaient à leurs mains leurs rations, auxquelles elles n'avaient pas encore touché, et un couteau. Elles restaient là, debout, près de Claude et Albin, ayant l'air de vouloir leu rparler et de ne pas oser Ces deux jeunes femmes et leur pain, leur viande, importunaient Claude et Albin.
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