Bonjour,
1. a.
Les expansions au nom "femme" : "inconnue", "une autre", "la même".
1. b.
Ce qui oppose ces différentes expansions est le contraste entre "une autre" et "la même". Comment cette femme peut-être à la fois différente et constante ? On peut relever aussi la différence entre "inconnue" et "la même". Une inconnue est-elle une personne familière et habituelle à quelqu'un ?
2.a
"...et que j'aime, et qui m'aime."
"...et m'aime et me comprend."
Les sujets sont le rêveur et la femme rêvée.
2.b
C'est la femme à laquelle il rêve dont cette personne relève de son imaginaire, il ne peut pas lui donner de nom car elle n'en a pas encore.
3.
Les 2 procédés sont l'anaphore et le pléonasme.
L'anaphore par la répétition de l'expression "Pour elle, seule" en début de vers.
Le pléonasme parce que "seule" vient renforcé l'idée du "pour elle".
4.
Le physique de cette femme est caractérisé par les couleurs de cheveux : brune, blonde ou rousse et par son regard "semblable à ceux des statuts".
Il y a aussi sa voix que l'on sait "lointaine, calme et grave".
On apprend à la fin du texte que cette femme n'existe pas par le vers "elle a l'inflexion des voix chères qui se sont tues".
5.a
Les adjectifs qui qualifient le mot rêves:
"familier", "étrange", "pénétrant"
b.
Celui qui rêve c'est l'auteur Paul Verlaine.
6.a.
Les questions du 1er tercet sont posées par l'auteur lui-même.
Le poète ignore les réponses car il ne sait pas encore comment sera cette femme qui l'aime et qu'il aime et à laquelle il rêve.
7.
L'auteur montre que cette femme relève davantage du rêve que de la réalité par des adjectif à connotation mystérieuse :
"inconnue", "ni tout a fait la même", "ni tout a fait une autre".
De plus, il n'a qu'une idée très vague de la description physique de cette femme.
8.
"Elle a l'inflexion des voix chères qui se sont tues."
9. Le poète souffre dans la vie réelle du manque de cette femme et de cet amour qu'il n'a pas trouvé dans la réalité et qu'il a donc rêvée et idéalisée par son imaginaire.
10.et 11 je ne sais pas...désolé.
