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Sagot :
Aujourd'hui le 23 novembre 1943, je pars à Bordeaux pour récupérer des lettres et en poster pour Monsieur Jean Moulin. En arrivant devant la rue que je doit prendre pour aller à la boite au lettre, je voit au loin Henri un camarade du lycée et je me dit que comme il était vraiment très intelligent il pourrait rejoindre la Maquis. Je l'appel un bon nombre de fois il ne me reconnaît probablement pas comme l'on ne sait pas vu depuis trois ans. Je m'approche donc de lui et cet fois il me voit et me reconnaît:
Je me souviens encore de mes années lycée, lorsque la paix régnait sans cette guerre, cette occupation des allemands ... Avec mes amis Henri, Antoine et Louis nous étions comme les dix doigts de la main et nous faisions tout ensemble. C'était mes meilleurs amis mais lorsque la guerre a éclaté nous avons étaient bombardés et Louis et mort sous mes yeux. Je me suis toujours dit que me vengerais des allemands et c'est pour ca que je me suis engagé avec Antoine dans la résistance et aujourd'hui je recrute des jeunes qui veulent sauver la France. Henri pourrait beaucoup nous apporter en faisant des plans élaboré avec intelligence, des planques ...
<< Mais je te reconnais tu n'es pas Marcel du lycée, dit Henri
- Si c'est moi et je suis bien vivant pas comme Louis, lui répondit Marcel
- C'est vraie, mais Quesque tu devient?
- Je me suis engagés dans la résistance avec notre ami Antoine dans la maquis voisin
-Vous êtes très courageux mais moi je crois que je ne pourrais pas le faire
-Moi je crois que tu pourrais beaucoup nous apporter si tu veux on peux en discuter
-Je veux bien je connais un café pas loin on ni serait tranquille
- D'accord on y va.>>
La négociation commença dès maintenant avec les gestes et les sentiments. on arriva dans le café et on s'installa à une table au fond de la salle, on commanda un plat du jour et je commença par lui expliquer les actions que l'on menait ainsi que le lieu et les chef du groupe. Je voyais qu'au fond de ces yeux il y avait de l'admiration et surtout de l'envie mais pas assez de courage, il fallait y remédier pour que de lui il me propose d'intégrer le maquis. Je le rassura en lui disant que les actions réussissait presque à chaque fois sans mort et on étai en zones libres. A la fin du rendez-vous on se levas paya et sortit du caf et la Henri m'annonça qu'il voulait intégrer le maquis avec moi et Antoine pour sauver la France. Encore une fois j'avais réussi ma mission, je lui donna les instructions lui fournit des papiers pour passer en zones libres. Je continua ma route vers la boite au lettre.
Je me souviens encore de mes années lycée, lorsque la paix régnait sans cette guerre, cette occupation des allemands ... Avec mes amis Henri, Antoine et Louis nous étions comme les dix doigts de la main et nous faisions tout ensemble. C'était mes meilleurs amis mais lorsque la guerre a éclaté nous avons étaient bombardés et Louis et mort sous mes yeux. Je me suis toujours dit que me vengerais des allemands et c'est pour ca que je me suis engagé avec Antoine dans la résistance et aujourd'hui je recrute des jeunes qui veulent sauver la France. Henri pourrait beaucoup nous apporter en faisant des plans élaboré avec intelligence, des planques ...
<< Mais je te reconnais tu n'es pas Marcel du lycée, dit Henri
- Si c'est moi et je suis bien vivant pas comme Louis, lui répondit Marcel
- C'est vraie, mais Quesque tu devient?
- Je me suis engagés dans la résistance avec notre ami Antoine dans la maquis voisin
-Vous êtes très courageux mais moi je crois que je ne pourrais pas le faire
-Moi je crois que tu pourrais beaucoup nous apporter si tu veux on peux en discuter
-Je veux bien je connais un café pas loin on ni serait tranquille
- D'accord on y va.>>
La négociation commença dès maintenant avec les gestes et les sentiments. on arriva dans le café et on s'installa à une table au fond de la salle, on commanda un plat du jour et je commença par lui expliquer les actions que l'on menait ainsi que le lieu et les chef du groupe. Je voyais qu'au fond de ces yeux il y avait de l'admiration et surtout de l'envie mais pas assez de courage, il fallait y remédier pour que de lui il me propose d'intégrer le maquis. Je le rassura en lui disant que les actions réussissait presque à chaque fois sans mort et on étai en zones libres. A la fin du rendez-vous on se levas paya et sortit du caf et la Henri m'annonça qu'il voulait intégrer le maquis avec moi et Antoine pour sauver la France. Encore une fois j'avais réussi ma mission, je lui donna les instructions lui fournit des papiers pour passer en zones libres. Je continua ma route vers la boite au lettre.
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