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Sagot :
Bonjour,
Le poète fait des éloges sur la ville de Paris, il veut montrer que la ville reste belle malgré ce qu'elle subit en employant des antithèses par exemple " Fine comme une aiguille forte comme une épée", il évoque Paris très souvent et grâce à cela le nom de Paris est mis en valeur alors qu'il parle des Allemands donc des ennemis qu'à la fin du poème et si tu lis bien son poème, il dévalorise même les soldats ennemis Allemands par exemple "La force idiote à le dessous" il fait même passer les allemands pour des esclaves "Ses esclaves nos ennemis" ils comparent donc les Allemands à des esclaves. De plus au vers 11/12 il s'adresse à Paris, à ses soldats et au peuple en disant "Ne crie pas au secours Paris/Tu es vivant d'une vie sans égal" le tutoiement marque son implication et dès le vers 23 il utilise NOUS pour montrer aussi sa solidarité puisque le poète aussi est sous l'occupation et par contre quand il s'adresse aux Allemands c'est à la 3eme personne du pluriel "ces esclaves...." pour montrer sa grande distance avec eux. Tout au long de son poème il redonne espoir et courage aux soldats en utilisant même (en dehors de tout ce que j'ai déjà noté ci dessus) les mots : Lumière/Vie/Vivant/Tu vas te libérer/Et c'est de nouveau le matin etc. De plus le poème commence en hiver (froid, sombre....) et se termine au printemps (lumière, renouveau....). Tout ce que j'ai écris montre la façon dont Paul Eluard encourage les soldats à se battre, à garder espoir, à résister.
Bien sûr je ne t'ai pas mis volontairement des termes compliqués puisque tu es au collège car en réalité c'est avec l'utilisation des périphrases péjoratives, du champ lexical etc que nous pourrions analyser ce poème mais tu le verras au lycée. Bon courage.
Le poète fait des éloges sur la ville de Paris, il veut montrer que la ville reste belle malgré ce qu'elle subit en employant des antithèses par exemple " Fine comme une aiguille forte comme une épée", il évoque Paris très souvent et grâce à cela le nom de Paris est mis en valeur alors qu'il parle des Allemands donc des ennemis qu'à la fin du poème et si tu lis bien son poème, il dévalorise même les soldats ennemis Allemands par exemple "La force idiote à le dessous" il fait même passer les allemands pour des esclaves "Ses esclaves nos ennemis" ils comparent donc les Allemands à des esclaves. De plus au vers 11/12 il s'adresse à Paris, à ses soldats et au peuple en disant "Ne crie pas au secours Paris/Tu es vivant d'une vie sans égal" le tutoiement marque son implication et dès le vers 23 il utilise NOUS pour montrer aussi sa solidarité puisque le poète aussi est sous l'occupation et par contre quand il s'adresse aux Allemands c'est à la 3eme personne du pluriel "ces esclaves...." pour montrer sa grande distance avec eux. Tout au long de son poème il redonne espoir et courage aux soldats en utilisant même (en dehors de tout ce que j'ai déjà noté ci dessus) les mots : Lumière/Vie/Vivant/Tu vas te libérer/Et c'est de nouveau le matin etc. De plus le poème commence en hiver (froid, sombre....) et se termine au printemps (lumière, renouveau....). Tout ce que j'ai écris montre la façon dont Paul Eluard encourage les soldats à se battre, à garder espoir, à résister.
Bien sûr je ne t'ai pas mis volontairement des termes compliqués puisque tu es au collège car en réalité c'est avec l'utilisation des périphrases péjoratives, du champ lexical etc que nous pourrions analyser ce poème mais tu le verras au lycée. Bon courage.
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