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Sagot :
La croissance démographique n'a cessée d'augmenter depuis 1950, notamment lors du "baby boom" qui a été une période de natalité élevée (le baby boom a eu lieu après la Seconde Guerre mondiale).
De 1950 à aujourd'hui, le monde a connu une croissance expoventielle (= augmentation très forte et très rapide).
De nos jours, le taux d'accroissement naturel (= différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès), est très hétérogène ; en effet, dans des pays développés comme la France, le taux de fécondité est très faible, soit inférieur au seuil de renouvellement des générations. De plus, la mortalité infantile est très faible ; elle est sous la moyenne mondiale, et la population est vieillissante : il y a peu de décès.
Néanmoins, dans des pays moins développés comme au Mali, le taux de fécondité est très élevé et supérieur au seuil de renouvellement. La mortalité infantile est elle aussi très supérieure à la moyenne mondiale, et l'espérance de vie à la naissance des enfants est infime. Dans ces pays mal-développés, la population est jeune car la croissance démographique est rapide et très élevée. Cependant, le taux de mortalité reste important.
La population augmente de plus en plus, d'après plusieurs experts, nous devrions passer de 7 milliards d'individus à 9,6 milliards.
Notre croissance démographique est cependant plus lente et plus modérée que ce que l'on a connu jusque-là. L'essentiel de la croissance démographique repose essentiellement sur l'Afrique.
De 1950 à aujourd'hui, le monde a connu une croissance expoventielle (= augmentation très forte et très rapide).
De nos jours, le taux d'accroissement naturel (= différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès), est très hétérogène ; en effet, dans des pays développés comme la France, le taux de fécondité est très faible, soit inférieur au seuil de renouvellement des générations. De plus, la mortalité infantile est très faible ; elle est sous la moyenne mondiale, et la population est vieillissante : il y a peu de décès.
Néanmoins, dans des pays moins développés comme au Mali, le taux de fécondité est très élevé et supérieur au seuil de renouvellement. La mortalité infantile est elle aussi très supérieure à la moyenne mondiale, et l'espérance de vie à la naissance des enfants est infime. Dans ces pays mal-développés, la population est jeune car la croissance démographique est rapide et très élevée. Cependant, le taux de mortalité reste important.
La population augmente de plus en plus, d'après plusieurs experts, nous devrions passer de 7 milliards d'individus à 9,6 milliards.
Notre croissance démographique est cependant plus lente et plus modérée que ce que l'on a connu jusque-là. L'essentiel de la croissance démographique repose essentiellement sur l'Afrique.
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