Bonjour,
Je t'aide un peu, mais lorsque tu postes une demande d'aide pense à préciser le numéro des questions pour laquelle ou lesquelles tu bloques.
En effet, on ne pas faire tout le devoir à ta place, ce type de questions représente un travail personnel important pour toi.
Q1] La ville apparaît comme un gigantesque chantier.
Q2] Tout d'abord il est éberlué, étonné, curieux, stupéfait, puis muet, et émerveillé, halluciné, euphorique, médusé, intéressé, perplexe, méditatif, songeur, bouleversé, excité, convaincu, inspiré, téméraire, résolu, rassuré, ambitieux, tout-puissant.
Q3] Le présent de l'indicatif. Il donne l'illusion que les faits passés appartiennent au présent comme s'ils se déroulaient sous nos yeux. Cela permet au lecteur de suivre la progression des sentiments du personnage principal.
Q4] Les propos sibyllins de l'intervenant apparaissent pleins de suffisance et remplis d'orgueil. Ces propos sont rapportés par un effet stylistique propres à l'emphase hyperbole (mise en relief).
Ce n'est pas une manière habituelle de faire, il y a un paradoxe entre le personnage qui s'exprime "petite" et l'entreprise "pharaonique". L'auteur utilise ce décalage stylistique pour souligner le fossé qui se dresse entre l'humain et le gigantisme de ses réalisations.
Q5] Une entreprise "pharaonique" est construit avec le radical "pharaon" et le suffixe "ique".
Le suffixe "ique" vient du grec qui signifie "relatif à", utilisé ici pour former un adjectif à partir de "pharaon" qui renvoie à des images évoquant la majesté, l'architecture, la grandeur, la civilisation, la pérennité dans le temps, la beauté, la puissance, le faste...
Le contexte donne une valeur particulière à ce mot, puisque le pharaon renvoie au passé fastueux d'une époque révolue alors que Dubaï représente l'opulence, la magnificence, le luxe du futur.
Je te laisse construire la suite de ton devoir afin que tu t'impliques dans ce travail personnel qui va te mener vers la réflexion
