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Sagot :
Lorsque j'entrais dans la pièce elle me parue tout de suite très familière... Comme elle était sombre je m'avencais vers la fenêtre, et essaya d'ouvrir les volets. Ils étaient rouillés alors j'eus beaucoup de mal à les ouvrir, je ne pu les ouvrir qu'à moitié. Je décida de regardé un peu l'horizon. A un moment je sentis une silhouette juste derrière moi. J'eu un petit frisson et les poils de ma nuque se mirent à se dressés. Lorsque je me retourna... il n'y avait personne. Il y avait à côté de l'imposante armoire, un vieux fauteuil. Je m'avancais vers celui-ci, quand tout à coup, je ressentis encore une fois la silhouette derrière moi ! La pièce s'était mit à empesté la charcuterie. Je me retourna... et.... je ne vis personne. Lorsque mon regard se réorienta vers le fauteuil, je sursauta de frayeur ! Une grande femme vêtue de blanc me regardait, debout derrière le fauteuil où je m'apprêtais à m'asseoir une seconde plus tôt ! Une telle secousse me courut dans les membres que je faillis m'abattre à la renverse ! Oh ! Personne ne peut comprendre, à moins de les avoir ressenties, ces épouvantables et stupides terreurs. L'âme se fond ; on ne sent plus son cœur ; le corps entier devient mou comme une éponge ! Je ne pensais plus à rien. J'avais peur...
"Oh ! Monsieur, vous pouvez me rendre un grand service !"
Je voulus répondre, mais il me fut impossible de prononcer un mot. Un bruit vague sortit de ma gorge. Elle reprit :
"Voulez-vous ? VOus pouvez me sauver, me guérir. Je souffre ! Oh ! Je souffre ! Peignez-moi ! Oh ! Peignez-moi ! Il faut qu'on me peigne. Regardez ma tête... Comme je souffre ; et mes cheveux, comme ils me font mal !"
Ses cheveux dénoués, très longs, très noirs, me semblait-il, pendaient par-dessus le dossier du fauteuil et touchaient la terre. Elle me montra du doigt une brosse disposez sur le rebord du fauteuil. Pourquoi ai-je reçu en frissonnant cette brosse, et pourquoi ai-je pris dans mes mains ses longs cheveux qui me donnèrent à la peau une sensation de froid atroce comme si j'eusse manié des serpents ? Je n'en sais rien...
Je la brossais. Je maniai je ne sais comment cette chevelure de glace. Je la tordis, je la renouai et la dénouai ; je la tressai comme on tresse la crinière d'un cheval. Elle soupirait, penchait la tête, semblait heureuse.
Soudain elle me dit : "Merci" l'arracha la brosse des mains et s'enfuit par la porte que j'avais remarquée entrouverte. Quelques secondes après, je repris enfin mes sens. Alors une fièvre de fuite m'envahit, une panique, la vraie panique des batailles. Je traversai l'appartement en courant, je sautai les marche de l'escalier quatre par quatre, je me trouvai dehors je ne sais par où, et, apercevant mon cheval à dix pas de moi, je l'enfourchai d'un bond et partis au galop...
Voili voilà !! J'espère que je t'ai aidé !
"Oh ! Monsieur, vous pouvez me rendre un grand service !"
Je voulus répondre, mais il me fut impossible de prononcer un mot. Un bruit vague sortit de ma gorge. Elle reprit :
"Voulez-vous ? VOus pouvez me sauver, me guérir. Je souffre ! Oh ! Je souffre ! Peignez-moi ! Oh ! Peignez-moi ! Il faut qu'on me peigne. Regardez ma tête... Comme je souffre ; et mes cheveux, comme ils me font mal !"
Ses cheveux dénoués, très longs, très noirs, me semblait-il, pendaient par-dessus le dossier du fauteuil et touchaient la terre. Elle me montra du doigt une brosse disposez sur le rebord du fauteuil. Pourquoi ai-je reçu en frissonnant cette brosse, et pourquoi ai-je pris dans mes mains ses longs cheveux qui me donnèrent à la peau une sensation de froid atroce comme si j'eusse manié des serpents ? Je n'en sais rien...
Je la brossais. Je maniai je ne sais comment cette chevelure de glace. Je la tordis, je la renouai et la dénouai ; je la tressai comme on tresse la crinière d'un cheval. Elle soupirait, penchait la tête, semblait heureuse.
Soudain elle me dit : "Merci" l'arracha la brosse des mains et s'enfuit par la porte que j'avais remarquée entrouverte. Quelques secondes après, je repris enfin mes sens. Alors une fièvre de fuite m'envahit, une panique, la vraie panique des batailles. Je traversai l'appartement en courant, je sautai les marche de l'escalier quatre par quatre, je me trouvai dehors je ne sais par où, et, apercevant mon cheval à dix pas de moi, je l'enfourchai d'un bond et partis au galop...
Voili voilà !! J'espère que je t'ai aidé !
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